The Casters
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Lulu-sama
Racineleretour
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Le cabanon :: Le cabanon :: Fan fiction
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Re: The Casters
LA SUITE !!!!!!!!!!!!!!!!!
(Sarah et Madeu dans les couloirs...!! lol ;p)
(Sarah et Madeu dans les couloirs...!! lol ;p)
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Re: The Casters
Joli suspens tout ça... La suite vite ! Et si Madeu peut crever au passage, ça arrangerait tout le monde
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Re: The Casters
C'est exactement ce que je pensais, Squit, et puis je me suis tout de suite ravisée ==> qui serait mort de trouille dans les couloirs avec Sarah après...??! ^o^
C'est génial que tu lises toi aussi les fics Squit' !
Car on est peu nombreux sur le fow, et le trop peu nombreux ne vient pas ou ne poste pas de com'.
Perso, je suis fan de toutes les fics présentes sur le fow, chacune ayant sa propre originalité, son propre style, sa propre ambiance et son propre univers.
WESH !!
D'ailleurs, tu ne continues pas la tienne....? C'était japanisé, j'aimais bien le début...
C'est génial que tu lises toi aussi les fics Squit' !
Car on est peu nombreux sur le fow, et le trop peu nombreux ne vient pas ou ne poste pas de com'.
Perso, je suis fan de toutes les fics présentes sur le fow, chacune ayant sa propre originalité, son propre style, sa propre ambiance et son propre univers.
WESH !!
D'ailleurs, tu ne continues pas la tienne....? C'était japanisé, j'aimais bien le début...
Lulu-sama- You have no Idea how Active
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Re: The Casters
Cette fois, je me suis efforcé de jouer avec le suspense ... j'espère que c'est bien fait.
- Spoiler:
- Sarah gardait ses mains dans ses poches et pourtant, elle n’avait jamais eu aussi peur. A tout instant, elle s’attendait à ce que le tueur apparaisse et la trucide. Même si elle avait parmi les meilleurs pouvoirs de tout le FAM, elle avait peur comme un petit enfant a peur du noir.
La pensée de Mike lui bloquait l’esprit et elle ressenti alors de la rage plutôt que de la peur. Mais brusquement, elle ressenti un terrible choc à la tête et perdit conscience.
Madeu serrait les poings en avançant : il fallait qu’il attrape cet raclure le plus rapidement possible. Premièrement parce que c’était son devoir et deuxièmement, pour battre Sarah et lui montrer qui était le plus fort. Il fallait seulement qu’il trouve le coupable, puis, l’arrêter ne serait pas un problème. Sauf qu’il ignorait que le tueur avait un tout autre objectif que de faire musette avec lui.
L’individu entra dans l’infirmerie. Sans allumer la lumière, il s’approcha d’une personne qui ne respirait que grâce à un masque spécial. Là, il trancha le tube. Le blessé se mit à respirer de plus en plus bruyamment et finalement, une lame de couteau en plein milieu du front le fit se taire pour toujours.
« Qui est là ?! » Demanda quelqu’un.
L’individu se retourna et se rendit compte qu’un des patients s’était réveillé. Il s’approcha et se rendit compte qu’il s’agissait de Kathy.
« Qu’est-ce qui se passe ? Demanda la jeune femme, qui est là ? »
La personne s’approcha en brandissant le couteau.
De son côté, Charles jeta sa dernière bouteille d’alcool à la poubelle. Il n’en pouvait tout simplement plus et son corps non plus d’ailleurs. Il se dit qu’aller voir Kathy lui remonterait sans doute le moral. Soit, il était un peu tard, mais il se dit que ça lui ferait plaisir sans aucun doute … mais il se dit surtout qu’il ne faudrait pas parler du bébé.
Il marcha tranquillement vers l’hôpital, les mains dans les poches, sans avoir la moindre idée de ce qui était en train de se passer là-bas. Il y serait dans trois minutes peut-être, mais rien n’était moins sûr en fait : il avait prit un dernier petit verre avant de quitter sa chambre.
Kathy perçue le son de quelqu’un s’approchant d’elle. La jeune femme fut tentée pendant une seconde de redemander à cette personne qui elle était, mais elle repensa alors aux deux essais qu’elle avait déjà fait et se dit que ça ne servirait de toute façon à rien.
Ne sachant pas que cette personne tenait un couteau et allait très certainement la tuer, Kathy ne fit absolument rien pour se défendre, l’idée ne lui venant même pas à l’esprit. Elle se rendit cependant compte que quelqu’un s’était arrêté juste à côté d’elle, à peut-être un mètre, un mètre et demi.
Il y eut quelques moments de silence. Brusquement, pendant l’espace d’une fraction de seconde, dans l’obscurité totale de la pièce, Kathy vit les rayons de lune briller sur une lame de couteau. Agissant alors par réflexe, la jeune femme se protégea et parvint à saisir le bras de son agresseur ; d’un mouvement vif, elle parvint à lui tordre le poignet et elle entendit alors le son d’une lame heurtant le sol : signe que l’agresseur avait enfin lâché l’arme.
« Tu l’as bien dans l’cul, hein ?! » Cria Kathy en ne pouvant s’empêcher de sourire.
Kathy se dépassa alors en décrochant un coup de pied surpuissant à son agresseur, l’envoyant à l’autre bout de la pièce. Elle précipita alors son bras en direction de la lampe pour l’allumer et pouvoir se battre un peu mieux qu’elle ne l’avait fait jusqu’ici.
Elle alluma alors la lumière et vit enfin le visage de l’individu.
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Re: The Casters
"Tu l'as bien dans l'cul hein ?!" Cria Kathy.... MDR !!!!! XD J'aime Kathy quand elle est crûe...! ^^
En effet, tu as pas mal rendu le suspens.
Et l'image des rayons de la lune sur la lame de couteau, c'était comme un arrêt spatio-temporel. ;p
Je me demande vraiment qui c'est...... j'aurais envie de dire... ******* mais je n'en suis pas sûre !
En effet, tu as pas mal rendu le suspens.
Et l'image des rayons de la lune sur la lame de couteau, c'était comme un arrêt spatio-temporel. ;p
Je me demande vraiment qui c'est...... j'aurais envie de dire... ******* mais je n'en suis pas sûre !
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Re: The Casters
Ah suspens suspens... T'as intérêt à pas faire mourir Sarah ! En tout cas moi j'ai aucune idée de qui c'est, il faut dire que j'ai pas cherché ^^
Désolé Lulu, mais ma fic est morte et enterrée, je l'avais démarrée sur un coup de tête, il ne servait à rien de la continuer... En tout cas, là j'ai un petit projet qui me tient à cœur, mais j'aimerais le développer avant de commencer, pas envie que ça fasse la même chose.
Désolé Lulu, mais ma fic est morte et enterrée, je l'avais démarrée sur un coup de tête, il ne servait à rien de la continuer... En tout cas, là j'ai un petit projet qui me tient à cœur, mais j'aimerais le développer avant de commencer, pas envie que ça fasse la même chose.
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Re: The Casters
Ah bon...? Dommage.... C'est toujours triste des projets inachevés je trouve... mais c'est aussi agréable de retomber dessus ! ;p
Bichonne ta prochaine fic et mets-la nous hein ! XD
BBB tu fais quoi.....?
Bichonne ta prochaine fic et mets-la nous hein ! XD
BBB tu fais quoi.....?
Lulu-sama- You have no Idea how Active
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Re: The Casters
Voilà-voilà. J'ai eu le temps de faire plusieurs chapitres ce matin, donc, les voici tous. Quoique, le relationnel c'est vraiment pas mon truc, alors, dites moi si je me goure massivement dans les chapitres à suivre. :bananaaa: (pardon, ça faisait tellement de temps que je voulais le mettre lui).
- Spoiler:
- « Sarah ! Cria Kathy, qu’est-ce que ça veut dire ?! »
Mais la jeune femme ne répondit pas. Elle se releva et ramassa le couteau qui se trouvait par terre.
« Hé ! Déconne pas ! »
Sarah asséna alors un coup de couteau à Kathy. Heureusement, la jeune femme avait eut le temps de réagir et elle n’eut qu’une petite éraflure au bras. Elle fit alors un mouvement de la main et envoya Sarah contre le mur.
Sarah se releva, mais elle était apparemment assez sonnée. Kathy vit alors quelque chose de bizarre dans ses yeux, quelque chose dans son regard : il y avait quelque chose de différent et ce n’était définitivement pas la Sarah qu’elle connaissait.
Kathy essaya alors de sortir du lit, mais brusquement, ses jambes s’écroulèrent sous elle et elle tomba par terre. Pendant ce temps, Sarah avait enfin regagné des forces et elle se leva. Là, elle prit un scalpel qui se trouvait sur un plateau à côté d’un lit et s’approcha de Kathy.
« Non, Sarah, arrêt ! » Cria Kathy.
Sarah brandit alors le scalpel.
« Je peux pas mourir, j’ai un fils et …
- Ha, dit Sarah avec une voix qui n’était définitivement pas la sienne, ton môme ? T’es pas au courant ? Il est mort. »
Kathy se figea. Elle était complètement pâle et avait du mal à respirer.
« C’est des conneries ! Hurla Kathy en serrant les poings, il peut pas être mort !
- Tu veux que je te montre le cadavre ? L’acte de décès ? Le lieu de sa mort ? Demanda Sarah en souriant. Ton mioche est plus mort que mort et y’a rien que tu puisse faire à propos de ça. »
Kathy avait l’impression de suffoquer.
« Ah oui ! C’est vrai que tu ne le savais pas, désolé alors. »
Elle leva alors le bras qui avait le scalpel et allait asséner le coup quand soudain, elle s’immobilisa et tomba par terre. Kathy leva alors la tête et vit Charles, un plateau à la main.
« Qu’est-ce qui se passe ici ? Demanda-t-il en jetant le plateau par terre, pourquoi est-ce que Sarah …
- Est-ce que Lucas est mort ?! S’exclama presque immédiatement Kathy.
- Comment ça ?
- Est-ce que notre fils est mort ?! Je peux pas être plus clair, même si j'essayait ! »
Charles hésita pendant quelques secondes.
« Lucas était dans tes bras quand le plafond s’est écroulé ; et si toi tu as pu survivre, lui, il a été complètement broyé.
- MERDE !!! » Hurla Kathy si fort que presque tout le monde se réveilla.
Charles ne savait pas quoi faire : il n’était vraiment pas bon pédagogue. Il voulu passer ses bras autour de Kathy pour essayer de la rassurer et de la faire se sentir mieux, mais après réflexion, il se dit que ce n’était vraiment pas une bonne idée.
« C’EST PAS JUSTE !!! POURQUOI ?!!! POURQUOI EST-CE QUE J’AI PAS LE DROIT D’ÊTRE HEUREUSE ?!!! »
Son regard tomba alors sur Sarah qui était toujours inconsciente. Elle serra le poing et se mit à la marteler de coups au visage. Charles la saisit alors par le poignet et lui cria d’arrêter.
« Fout-moi la paix connard ! Cette pétasse vaut pas mieux que tous les enculés de votre organisation !
- Tu l’auras voulue Kathy. »
Il lui donna alors un coup surpuissant au visage et elle perdit conscience à son tour.
- Spoiler:
- Le FAM ne pouvait tout simplement pas perdre un chef d’unité de plus. On décida donc de bourrer Sarah de drogues afin de la maintenir dans un état de semi-conscience matin, midi et soir. De plus, elle était dans une pièce à part, gardée en permanence par des gardes armés et seuls Madeu ou bien le Boss avaient le droit d’y entrer.
Un bon mois était passé. Charles entra dans la chambre de Kathy et trouva la jeune femme allongé sur son lit en train de contempler le plafond en souriant.
« Salut Kathy, ça va ? Demanda-t-il, ils t’ont enfin laissés partir de l’infirmerie ?
- Oui … oui. »
Elle contempla le plafond pendant quelques secondes et dit alors :
« Dis, tu crois qu’il y a des moutons à pois bleus cachés dans le plafond ? »
Charles serra les poings. Ils l’avaient encore bourrés de leur saloperies car elle non plus, ils ne pouvaient pas se permettre de la perdre et vu qu’elle avait déjà tenté de se suicider quelques heures seulement après ce qui s’était passé avec Sarah, on avait préféré la sécurité. Sauf que personnellement, même s’il ne pouvait rien faire, Charles avait envi de vomir en y pensant.
Espérant que Kathy avait l’esprit assez clair pour permettre une discussion à peu près normale, il s’assit à côté d’elle et lui dit :
« Ecoute, je sais que c’est un sujet douloureux pour toi, mais il faut qu’on parle de Lucas.
- Vas-y man, vas-y ! Répondit Kathy en souriant.
- Je comprends très bien à quel point c’est dur de l’avoir perdu, c’est très dur pour moi aussi. Mais Kathy, je trouve pas que ça vaut la peine de se suicider comme t’as essayé de le faire.
- Oh, mon petit charlinounet, comme c’est gentil de t’inquiéter pour moi, dit Kathy d’un ton mielleux en posant sa main sur celle de Charles.
- Kathy, arrêt ça. C’est les saloperies de drogues qu’ils t’ont injectés qui te font faire ça.
- Mais non, j’ai touuuuujours été comme ça, depuis que je suis sorti de ma rose et même avant que tu ne sortes de ton chou. »
Voyant très bien qu’il n’y avait rien à faire pour le moment, Charles se leva et sorti de la pièce.
Sur le palier de la porte il serra son poing et le mordit. D’abord il avait perdu son fils et maintenant, Kathy avait disparue dans l’univers des nounours souriants avec les poches pleines de bonbons et des éléphants roses.
« Merde, c’est pas possible. » Murmura-t-il en s’adossant à la porte.
Il allait alors partir quand tout à coup, il regarda à la porte de la chambre et fronça les sourcils.
« Ouais, sauf que ça va pas se passer comme ça ! »
Il entra dans la chambre où Kathy était toujours allongée sur le lit à contempler le plafond. Il prit une valise, jeta des affaires à la jeune femme dedans, puis, qu’il se dépêcha de fermer.
Charles prit alors Kathy par la main et la força à se lever du lit. Il sorti alors rapidement de la chambre, la valise dans une main et Kathy qui le suivant sans poser la moindre résistance.
« Où est-ce qu’on va ? Demanda la jeune femme.
- Je vais te planquer dans ma chambre jusqu’à ce que ça aille mieux et que tu puisse leur dire toi-même ce que tu penses de tous ces cons au FAM. »
Kathy eut l’air de réfléchir pendant quelques secondes, puis demanda finalement :
« Est-ce qu’on va au carnaval ?
- Oui Kathy, répondit Charles en fronçant les sourcils, tu peux être sûr que ce sera le plus beau carnaval de tout les temps. »
- Spoiler:
- Par chance, Charles ne rencontra personne en chemin (il fallait de toute manière souligner que ça devenait de plus en plus rare de croiser quelqu’un dans les couloirs, vu que les agents du FAM mourraient les uns après les autres à causes des escarmouches dans la rue). Une fois arrivé dans sa chambre, Charles laissa Kathy s’allonger sur le lit et il installa de quoi dormir sur le canapé.
« Je peux faire dodo ? Demanda Kathy en s’étirant.
- Vas-y, fais ce que tu veux. »
Pendant que Kathy dormait, Charles se rendit à la cuisine et se prépara un thé, puis s’assit sur le canapé. Il passa ensuite un bon quart d’heure à boire. Dans une heure ou deux, Kathy devrait logiquement commencer à réfléchir à peu près normalement, ce qui veut dire que dans moins d’une demi-heure, quelqu’un irait dans sa chambre à elle pour lui injecter de nouveau ces saloperies.
« Bon, je suis dans la merde, et après ? Questionna Charles. Je pouvais tout de même pas la laisser comme ça. »
- C’est de la mauvaise foi, que lui souffla son inconscient. Si tu l’as amené ici, est-ce que c’est pas surtout parce que t’es raide dingue d’elle et t’as envie de l’avoir juste à côté de toi, matin, midi et soir.
- C’est facile de dire ça mon coco, répondit Charles en buvant un peu de thé à partir de sa tasse. N’empêche que, que ce soit de la mauvaise foi ou pas, le fait est que Kathy est sortie de ce merdier.
- Ouais, et t’as pas pensé, ne fut-ce qu’un seul instant, qu’on pourrait commencer à fouiller tout l’immeuble quand on verrait qu’elle a disparue de a chambre ? Le FAM c’est pas la récré joyeuse et s’ils voient qu’elle est ici, je crois que t’es bon pour te prendre quelques balles dans la cervelle.
- M’en fout. » Coupa sèchement Charles.
Ce coup-ci, la petite voix se tût (au grand bonheur de Charles en fait). Il fini sa tasse et se rendit à la cuisine pour le mettre dans le lavabo. Il revint ensuite dans la pièce principale et s’assit sur le canapé en prenant un livre pour l’aider à patienter.
Jamais il n’avait été aussi tendu : il fallait impérativement que Kathy se débarrasse de ces drogues qu’elle avait encore dans le sang et qu’elle reprenne ses esprits, au moins un minimum.
Quelques heures plus tard, Charles pouvait entendre la panique dans le couloir, mais pourtant, il ne flancha pas et essaya de garder son calme. Kathy qui, normalement, aurait du se réveiller il y a deux bonnes heures, était toujours en train de dormir à point fermé.
N’en pouvant plus, Charles se leva et, s’approchant d’elle, lui secoua l’épaule.
« Hé là-dedans, il est l’heure de se réveiller.
- Maman, encore cinq minutes.
- Non, non, pas de « cinq minutes qui tiennent », c’est plus le moment de faire dodo.
- Je t’en pose des questions moi ? Fiche-moi la paix Charles. »
Bon, là, c’était certain, elle avait définitivement retrouvé ses moyens et elle réfléchissait à correctement. Cependant, joie à part, il fallait impérativement qu’elle se lève et qu’elle se mette sur ses pieds, sinon, ça n’allait pas tarder à sentir mauvais.
Charles la prit alors par le bras et la força à s’asseoir sur le lit. Apparemment, une migraine lui martelait le cerveau, mais il fallait cependant s’activer et se lever.
« Charles, pourquoi est-ce que tu fais tout ça ? » Demanda Kathy en le regardant droit dans les yeux avec incrédulité.
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Beuuuuheuuuheuuuu mais je l'aime Charles je l'aimeuuuuh !!!!!! :booh:
Merci pour ces 3 supers chapitres, ils s'enchainaient bien.
Charles me stresse, mais il a un tellement bon fond que je ne peux pas m'empêcher de me dire que.... "TOUT IRA BIEN POUR LUI" hein BBB? (lavage de cerveau) lol
- Spoiler:
- Alors.... pour Sarah, je me demandais si ça aurait été elle et SBIM c'est elle.... mais sans être "elle", n'est-ce pas...?
Elle a été manipulé pas vrai ?
Juste un truc qui m'empêchait d'affirmer que c'était elle ==> l'épisode avec Mike... tu nous dis clairement que quelqu'un chlorophorme Sarah... ou alors ils étaient 2 à agir....? ...Madeu....? d'oh!
Merci pour ces 3 supers chapitres, ils s'enchainaient bien.
Charles me stresse, mais il a un tellement bon fond que je ne peux pas m'empêcher de me dire que.... "TOUT IRA BIEN POUR LUI" hein BBB? (lavage de cerveau) lol
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Re: The Casters
Je vais en mettre que deux cette fois-ci, désolé, j'ai eu des journées un peu dingue récemment. Pour le second chapitre, j'ai été aidé parce que j'étais à peu près dans le même état que Kathy ... sans le vous devinez quoi tout de même. :drunken:
- Spoiler:
- Charles resta interloqué pendant plusieurs secondes. Kathy le regardait, les mains sur les hanches.
« Tu sais au moins ce qu’ils étaient en train de te faire ? Dit enfin Charles. Tu sais au moins comment t’étais y’a une heure.
- Et t’as risqué ta vie, juste à cause de ça ? Demanda-t-elle d’un ton désapprobateur.
- Ben … je … »
Il hésita pendant quelques secondes mais fini enfin par lâcher le morceau.
« Je t’aime ! »
Kathy serra les poings pendant quelques secondes, puis, après s’être légèrement mordu la lèvre elle sourit et répondit :
« Oh, mais que c’est tout mignon tout plein, voyez-vous donc ça. Le petit charlinounet est amoureux ! Je te souhaite une bonne continuation mon petit. »
Elle se leva et se dirigea vers la sortie.
« Mais ça sera sans moi. »
Elle sortie de la pièce et claqua la porte. Marchant dans le couloir, elle se mordit le poing, tout en gardant la tête baissé.
« Hé, vous ! » Entendit-elle.
Elle releva la tête et vit un des hommes du FAM.
« QUOI ENCORE !!! Cria-t-elle.
- Ça fait des heures qu’on vous cherche, où étiez-vous ?
- Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?!!
- Pas besoin de crier comme ça.
- Bon, vous m’avez trouvé, super ; et maintenant quoi ?!!
- Vous devriez peut-être aller voir le Boss pour …
- Je vais aller le voir votre connard de Boss si ça peut vous faire me foutre la paix !!! »
Elle suivit cet homme jusqu’à la porte du bureau du Boss. Elle se dirigea immédiatement vers le bureau derrière lequel se trouvait le Boss pour en finir rapidement.
« Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait en disparaissant comme ça ? Fit-il alors remarquer.
- Vous trouvez peut-être plus correcte de me bourrer de drogues !!! Je sais pas ce qui me retient de vous défoncer la mâchoire d’un bon coup de poing dans la gueule !!!
- Où étiez-vous pendant tout ce temps ?
- Au fond de votre cul à gauche !!! Je vous en poses des questions moi !!! On a un accord : je vous aide à faire vos conneries et vous m’aidez en retour, mais en aucun cas vous me réduisez à l’état de légume !!! »
Elle se dirigea ensuite vers la sortie.
« Hé, où allez-vous ? Demanda la Boss.
- Voir Sarah.
- Vous n’avez pas le droit d’y aller, on …
- J’ai faillit être poignardée par ma meilleur amie et vous pensez que j’ai pas envie, ne fut-ce qu’un chouia, de comprendre ce qui a bien pu se passer !
- Vous avez besoin de mon autorisation de toute manière.
- Non, j’ai simplement besoin de faire dégager les gardes de là ! Qu’est-ce que ça peut vous foutre de toute façon que j’aille parler à Sarah pendant quelques minutes. Vous n’avez jamais eu d’amis ou quoi ?
- J’en ai jamais eu besoin.
- Ouais, ça explique pas mal de choses. » Rétorqua Kathy en sortant de la pièce.
- Spoiler:
Mais quand elle arriva en face de la porte de la chambre où se trouvait Sarah, on annonça à Kathy que la jeune femme était complètement KO à cause des drogues. Elle eu beau insister pour au moins entrer, il n’y avait rien à faire.
Kathy entra dans sa chambre et s’écroula sur le lit. Elle se sentait tellement mal à propos d’elle-même, elle se haïssait. En tant que mère, elle n’avait même pas été fichue de garder son fils en vie et maintenant, il y avait Charles qui … et elle avait manqué à ses devoirs d’amie envers Sarah et avait passé son temps en transe continuelle (à cause d’une tentative de suicide librement faite), ne pouvant en conséquent rien faire pour l’aider.
« J’suis vraiment une salope, murmura Kathy en commençant à pleurer, une salope, une salope, une salope. »
Elle se leva et prit un verre, puis, une bonne bouteille d’alcool qu’elle regarda pendant quelques secondes.
« Et une lâche qui se réfugie dans l’alcool par-dessus le marché. »
Mais peu importe ça, la douleur était trop énorme. Elle ouvrit la bouteille et se mit à boire comme jamais auparavant le liquide qui s’y trouvait. L’alcool était dégoûtant, mais ça, c’était un détail qui importait vraiment peu maintenant.
Elle se posa ensuite sur son lit et attendit que ça agisse.
Dix minutes plus tard, sa tête tournait tellement qu’elle n’arrivait plus à voir qu’en double. Elle se sentie plus triste que jamais, l’alcool n’y changeait rien.
« J’ai jamais rien réussie dans ma vie, je suis conne, moche, irresponsable et tout le monde me rejette … en même temps, ils ont pas tord ; je vaux pas le coup. Je suis une salope, une salope, une salope. »
Là-dessus, elle se remit à pleurer de plus belle. Elle se dirigea en titubant vers la cuisine et sortit un couteau du tiroir. Elle le regarda pendant quelques secondes en essayant de penser à l’endroit où elle pourrait frapper pour être sûre et certaine d’en finir.
Elle revint alors dans le salon, prit les médicaments qu’il restait au cas où, puis s’assit sur le lit.
« Bon, c’est parti. »
Elle posa alors la lame du couteau sur le poignet et serra les dents. Mais alors qu’elle allait tirer un coup sec pour se trancher le poignet, elle se trouva incapable de bouger. Elle jeta le couteau et recommença à pleurer, le visage entre les mains.
« J’suis qu’une pétasse ! Pourquoi est-ce que je suis même pas foutue de faire ça !? »
Elle tâtonna alors sur la table pour trouver les médicaments qu’elle avait mit à porté. Elle se saisit du flacon et le regarda pendant quelques secondes. Ses mains tremblaient et brusquement, elle jeta l’objet contre le mur. D’un seul coup, elle flanqua ensuite tout les autres médicaments par terre et recommença à pleurer.
« Même pas assez de courage pour ça … qu’est-ce que je fout encore ici ?! Je suis vraiment qu’une salope. »
C’est alors qu’elle voulue réellement en finir. Elle avait prévu d’autres flacons sur la table dans le cas échéant, mais lorsqu’elle les chercha sur la table, ils tombèrent tous par terre et la jeune femme se sentie si mal qu’elle n’avait même plus la force de pleurer.
« Je vous en pries, murmura-t-elle en s’écroulant par terre à cause de son cerveau bourré d’alcool, quelqu’un, au secoure. J’ai tellement peur. Pitié, n’importe qui. »
Mais c’était toujours le silence.
« Je t’en pries, aide-moi, je t’en pries, je m’excuse pour tout à l’heure, je suis vraiment désolé … je t’aimes aussi Charles. »
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Eh oui.... Kathy ne peut pas faire ça car ça n'est pas une lâche....
Alors comme elle, tu t'es traité de.... "salope"....? oups je me tais.
Merci BBB !
Alors comme elle, tu t'es traité de.... "salope"....? oups je me tais.
Merci BBB !
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Re: The Casters
Nan, moi j'ai mit l'adjectif au masculin.
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Nan sérieux..... ?
Moi je disais ça en rigolant....
Pourquoi tu t'es dit ça........? T'as fait quoi......?
Moi je disais ça en rigolant....
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Re: The Casters
Disons que depuis la dernière fois, j'ai eu un peu de temps libre pour écrire et j'ai fait quelques petits chapitres. La quantité y est et j'espère que la qualité aussi.
- Spoiler:
- Kathy vomit plusieurs fois durant la nuit et lorsqu’elle se leva le lendemain matin, elle avait le cerveau déchiré par une terrible gueule de bois. Elle se doucha rapidement et prit rapidement le petit déjeuner.
On frappa alors à la porte et lorsqu’elle ouvrit, un homme du FAM lui signala que tout le monde était attendu en bas, le Boss ayant un speech à faire. Mettant son blouson en triple vitesse, Kathy le suivit donc jusqu’à ce qu’ils arrivent dans un grand salon où se trouvaient tous les gens du FAM (à part Sarah bien entendu).
Kathy ne prit même pas la peine de regarder, mais elle savait que Charles se trouvait là et ne devait pas péter la forme non plus. La jeune femme s’assit sur un siège et se mit à attendre comme tout le monde que le Boss arrive enfin.
Après quelques minutes d’attente, on vit finalement le boss entrer dans la pièce. Madeu se trouvait à ses côtés et il tenait des feuilles à la main. Les deux hommes s’assirent à une table au fond de la pièce et le Boss dit :
« Bon, comme vous le savez tous, c’est dès ce soir que nous allons tenter de déloger les forces ennemies. D’après les prisonniers qu’on a pu faire, la planque de notre ennemi est assez bien localisée, mais elle va être difficile d’accès car elle est en pleine zone de peste. »
Kathy n’écouta que très vaguement ce que le Boss raconta pendant le reste de l’heure. Du bla-bla sur la responsabilité du citoyen envers son pays et des absurdités dans le même genre.
Elle capta cependant la partie où il fut précisé que le départ serait dans environ une heure et qu’il fallait se préparer en conséquence.
Quand on monta ensuite pour aller chercher ses affaires. Charles s’approcha de Kathy, les mains dans le dos et dit, d’un ton de voix timide.
« Je suis désolé pour ce que j’ai dit hier j’aurais pas du. Est-ce que c’est oublié ? »
Kathy sentie une douleur au ventre. Elle aimait Charles, mais elle se détestait tellement elle-même qu’elle ne voulait pas du bonheur, elle n’en avait pas le droit.
« Reste éloigné de moi et tout ira bien, dit-elle sèchement.
- Mais je …
- T’es sourd ou quoi mon coco. Chacun reste de son côté et ce sera mieux comme ça, nan ? »
Elle s’en alla ensuite, les poings serrés.
Une heure plus tard, tout le monde se dirigeait vers la sortie de l’hôtel. Il fallait se dépêcher selon ce que disait le Boss, on pourrait ainsi bénéficier de l’effet de surprise et subir le moins de pertes possibles en conséquence. Il fallait voir que de toute manière, après tout ce qui s’était passé pendant ce dernier mois, il ne restait tout au plus qu’une centaine de personnes, et encore, certaines n’étaient pas complètement guéries de leurs blessures, mais il allait falloir faire avec.
C’est alors que quelqu’un descendit en courant des escaliers de l’hôtel. Il trouva rapidement le Boss et lui murmura quelque chose à l’oreille. Intriguée, Kathy s’approcha de lui et demanda de quoi il s’agissait.
« C’est pas vos affaires, répondit le messager.
- C’est pas à toi que je posait la question duschnock.
- Boss, c’est qui celle-là ?! Demanda le messager.
- C’est l’ultime Caster, et même si t’es un agent d’élite, t’as pas à lui parler sur ce ton, répondit le boss.
- Alors ? Reprit alors Kathy quand le Boss eut fini sa petite explication, qu’est-ce qui se passe ?
- Sarah a disparue de sa chambre. »
- Spoiler:
- Kathy sera les poings. Elle n’avait aucun mal à imaginer que celui ou ceux qui étaient derrière tout ça étaient les mêmes qui avaient fait en sorte que Sarah se mette à zigouiller tout le monde. Ça faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas autant eu envie de tuer.
« On part bientôt ? Demanda-t-elle au Boss.
- Non, il va falloir qu’on retrouve Sarah, répondit-il, c’est quand même assez grave tout ça et …
- Il vous manque une case ou quoi ?! Elle n’a pas disparue, elle a été enlevée. Si jamais les drogues que vous lui avez injectées cesse de faire leur effet, ce qui sera sûrement le cas dans pas si longtemps, alors on aura Sarah contre nous et je sais franchement pas si ce sera bon.
- Allons allons, est-ce qu’on est pas un peu catastrophiste là ? »
Kathy serra les poings, elle en avait tout simplement assez.
« Allez, tout le monde en route ! » Cria-t-elle au reste des gens qui se trouvaient là.
Le Boss la prit alors par le col.
« Qu’est-ce que vous êtes en train de foutre, vous oubliez que c’est moi le chef ou quoi ?!
- Désolé, répondit Kathy en enlevant sa main de là, mais quand le chef est con, il faut quand même que ça continues.
- Pour qui est-ce que vous vous prenez. Si y’a une hiérarchie, c’est bien pour que règne l’ordre.
- Il est bien beau votre argument, mais dans tout système, si le chef est con en temps de crise, alors c’est tout qui risque de se casser la gueule. On peut pas rester passif tout le temps, c’est trop facile. C’est parti, on y va. »
C’est alors qu’elle se rendit compte que seulement une vingtaine de personnes se trouvaient présentes. Elle voulue de nouveau demander au Boss pourquoi i y avait de telles négligences, mais elle fut trop découragée pour le faire et préféra se diriger vers une des cinq voitures.
Elle prit place derrière et attendit que ça démarre. Quelques instants plus tard, tout le monde fit de même et le cortège se mit en route.
Charles, de son côté, se trouvait deux voitures derrière Kathy. Il était devant mais n’avait vraiment pas l’air de se sentir bien. Madeu qui conduisait jeta quelques coups d’oeils rapides sur lui avant de lui demander ce qui n’allait pas.
« Vous pouvez pas comprendre, répondit Charles sans trop d’énergie.
- Allons, raconte donc, ça fait toujours du bien de confier ses problèmes à quelqu’un d’autre.
- Chagrin d’amour.
- Vieux comme le monde mais toujours aussi douloureux, hein ? J’ai pas de remède miracle contre ça, il faut essayer d’oublier, je vois rien d’autre.
- En attendant, vous auriez pas juste un petit quelque chose à boire sur vous ?
- C’est vraiment pas une solution, dit Madeu en sortant une petite bouteille de la boîte à gants.
- Je sais, mais là ça fait vraiment trop mal. »
Charles prit la bouteille et bu tout son contenu presque cul sec. Madeu le regarda pendant quelques seconde avec les yeux grands ouverts avant de se retourner vers la route afin de ne pas avoir un accident : il venait de boire de l’alcool à 90° comme ça, d’un seul coup.
Du haut d’un immeuble, une personne observait le cortège de voitures qui avançait tranquillement dans la rue, elle était sereine. Juste à côté de cette première personne, on pouvait en voir une autre qui regardait en souriant les voitures passer de manière complètement insouciantes, sans se douter de ce qui allait bientôt se passer. Cette personne, c’était Sarah.
- Spoiler:
- Kathy ne se sentait vraiment pas bien et elle se dit que si elle dormait un peu, peut-être que ça s’arrangerait un peu. Mais à peine eut-elle fermée les yeux qu’elle entendit le chauffeur crier et sentie la voiture changer brusquement de direction.
Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle se rendit alors compte que le véhicule fonçait droit vers un mur. Elle voulu se servir de son pouvoir afin de faire quelque chose, mais ce fut trop tard et l’accident se produisit. Kathy sortie de la voiture, le visage couvert de sang à cause de son arcade sourcilière qui s’était ouverte et le corps couvert d’égratignures plus ou moins graves. Sa peau la brûlait, elle voyait flou et elle arrivait à peine à se tenir debout.
« Qu’est-ce qui s’est passé ? Demanda-t-elle en se passant la main sur la figure. C’était quoi ça ? »
Immédiatement, les autres voitures s’arrêtèrent et tout le monde descendit pour voir ce qui s’était passé. Brusquement, une silhouette apparue derrière chacune de ces personnes et, leur donnant une bonne frappe sur l’arrière de la nuque, leur fit perdre conscience. Mais il y avait assez de gens pour que cela prenne du temps et pour que Charles puisse s’approcher de Kathy (sans pour autant remarquer ce qui se passait).
« Kathy, ça va ?! Tu m’entends ?
- C’est qui là ?
- C’est Charles.
- Charles ? … c’est pas la peine de te faire du soucis pour moi, je … »
Il se prit à son tour un coup près de la nuque et perdit conscience.
Kathy, toujours complètement sonnée, ne comprenait absolument pas ce qui se passait autour d’elle. Elle ne comprenait surtout pas pour quelle raison Charles s’était tout d’un coup évanouis alors qu’il semblait péter la forme quelques instants plus tôt.
Brusquement, en dépit de l’état dans lequel elle se trouvait, Kathy sentie comme un présence derrière elle. Par instinct, elle porta sa main derrière elle et para le coup qu’on s’apprêtait à lui porter.
« C’est qui là ? » Demanda-t-elle.
Pas de réponse, seulement l’impression qu’on disparaissait et en effet, lorsque Kathy se retourna pour voir de qui il pouvait bien s’agir, elle ne vit personne à cet emplacement.
C’est alors qu’elle sentie de nouveau cette présence, mais devant elle cette fois-ci. Elle se retourna donc et vit une silhouette qui lui était vaguement familière, mais qu’elle ne pouvait pourtant pas distinguer en raison de sa vision qui était complètement floue.
« T’es qui toi ? Demanda-t-elle. Je crois bien que je t’ai déjà vue quelque part … tu fais parti du FAM ou pas ? »
Pas de réponses.
« Allez, soit pas comme ça avec moi, soit coooooooooooooool … »
Kathy eut alors l’idée de plisser les yeux afin d’affiner son regard et elle vit enfin à qui elle avait affaire.
« Sarah ! » S’exclama-t-elle.
Cependant, elle n’eut pas le temps de réfléchir beaucoup plus à la question. En effet, presque immédiatement, Sarah lui donna un terrible coup de poing dans l’estomac et elle eut l’impression que ses poumons se vidaient de leur air. Kathy tomba à genoux en se tenant les côtes et en haletant à cause de la douleur provoquée par le coup qu’elle venait de recevoir.
Peu à peu, tout commença à devenir noir autour d’elle, peu à peu, elle perdit connaissance. Il ne fallu finalement que quelques minutes à Sarah pour neutraliser les meilleurs Casters du FAM. Il ne fallu qu’une demi-heure pour les ramener à la base pour s’occuper d’eux correctement.
- Spoiler:
- Kathy se réveilla enfin après avoir été inconsciente pendant près d’une bonne heure. Elle se trouvait dans ce qui semblait être une espèce de salle de réunion. Sauf que tout était en désordre et il faisait tellement noir qu’il serait impossible de voir sans la rare lumière du jour qui passait à travers les rideaux. La jeune femme tenta de bouger un peu, mais s’aperçu alors qu’on lui avait ligoté les pieds et les mains.
« Y’a quelqu’un ? » Demanda Kathy.
Pendant quelques secondes, il n’y eu pas de réponses. Kathy commença à sérieusement avoir peur quand elle entendit des pas s’approcher. C’est alors que la porte de la pièce dans laquelle elle se trouvait s’ouvrit et un homme d’à peu près une trentaine d’années entra.
« Vous vous êtes enfin réveillée apparemment. Alors c’est le moment d’y aller.
- D’aller où ça ?
- Vous verrez. » Répondit simplement cette personne en la faisant se lever et en défaisant les liens qu’elle avait aux pieds.
Kathy aurait donné cher pour envoyer cet homme contre le mur avec son pouvoir, sauf que ses mains étaient si bien attachées entre elles qu’elle n’avait pas la possibilité de les bouger suffisamment pour faire quoi que ce soit. L’homme lui commanda alors de le suivre sans faire d’histoire, mais la jeune femme cracha sur lui en signe de réponse.
« Comment t’ose me faire ça espèce de salope ? Demanda-t-il en s’essuyant.
- Et toi, pour qui est-ce que tu te prends, tu crois qu … »
L’homme lui donna alors un coup de poing surpuissant à la figure, si fort que Kathy tomba en arrière.
« Et toi, pour qui est-ce que tu te prends ?! Hurla-t-il, tout ce que je te demande c’est de me suivre sans faire d’histoire ! »
Il s’approcha de Kathy qui, allongée par terre, avait l’air d’être complètement sonnée. Brusquement, elle balança une de ses jambes et lui fit un croche-patte. Tombant, il parvint tout de même à se rattraper.
« C’est bon petite salope, là va y’avoir des bobos. »
Il fouilla dans sa poche et sorti un couteau. Mais immédiatement, Kathy lui donna un coup de pied surpuissant dans le visage. Cette fois-ci, l’homme avait vraiment l’air fou furieux et semblait prêt à tuer Kathy. Mais au moment où il allait abaisser son bras et le couteau avec, une main lui saisit le poignet : c’était Sarah.
Sauf que quand Kathy la vit, ce n’était pas la Sarah qu’elle connaissait, c’était comme celle qui avait faillit la tuer dans la chambre d’hôpital ; il y avait quelque chose dans son regard, même si ses yeux était parfaitement normaux.
« Le chef la veut vivante, dit Sarah à l’homme, si jamais tu la tues, je crois pas qu’on t’accordera le privilège d’une mort rapide et sans douleur. »
L’homme lâcha alors prise et remit le couteau dans sa poche.
Sarah s’approcha de Kathy et, en la tirant par les cheveux pour la lever, dit :
« Et toi, si jamais tu commence à déconner, je te jure que je serait pas aussi gentille que lui. »
Une fois la jeune femme relevée, on la sorti de cette pièce. Sarah lui ordonna alors de la suivre et Kathy ne se sentie absolument pas d’humeur à protester. Tout en marchant, elle s’aperçue qu’elle se trouvait dans un gigantesque entrepôt bourré de caisses de marchandises qui formaient ensemble un véritable labyrinthe.
Mais en empruntant un virage, elle aperçu alors Charles, lui aussi ligoté.
« Hé ! Charles ! » Appela-t-elle.
Mais après un bref coup d’œil, Charles détourna la tête.
- Spoiler:
- Profitant du fait qu’ils marchaient dans la même direction, Kathy s’approcha de Charles.
« Hé, pourquoi est-ce que tu me fais la gueule comme ça ?
- Quoi, ça t’étonne ? » Répondit-il sèchement.
Kathy se rendit alors compte que sa démarche était légèrement chancelante et qu’il sentait l’alcool. Elle réfléchit alors pendant quelques instants pour enfin comprendre pourquoi il était comme ça avec elle.
« Ecoute Charles, j’suis désolé pour ce que j’ai dit plus tôt. C’est compliqué à expliquer et …
- Ah ben pourtant, à moi, la réponse m’a parue assez simple.
- On peut pas essayer de discuter de ça calmement ?
- On a déjà essayé jusqu’à preuve du contraire et on a bien vu le résultat. »
Kathy se sentit de plus en plus mal. Elle se sentait mal d’une part d’avoir dit à Charles ce qu’elle lui avait quelques heures auparavant, et en plus, ce que lui répondait Charles lui faisait mal.
« Je … je pensait pas ce que je disait, reprit-elle. C’est la mort de Lucas qui m’a vraiment fait un choc.
- Et donc ?
- Et donc je … »
Kathy dut arrêter : le souvenir de Lucas lui sauta à la gorge et elle du se retenir de pleurer. Charles la regarda pendant quelques instants et, en dépit du fait qu’il avait bu, il commença à regretter ce qu’il avait dit un peu plus tôt.
« Tu peux pas t’imaginer à quel point c’était dur pour moi, reprit Kathy en reniflant, pendant toute ma vie, j’ai vécue sans personne et pour moi, avoir un bébé c’était ce qui pouvait m’arriver de plus merveilleux.
- Kathy …
- Mais j’ai pas été foutue d’être une bonne mère et … je vois même pas pourquoi je devrais vivre ; je vois pas pourquoi je devrais mériter d’être heureuse ! »
Elle commençait à pleurer. Les personne qui les escortaient échangèrent quelques murmures, mais sans plus. Sarah ne leur accorda même pas un regard.
« Je suis vraiment désolé pour ce que j’ai dit plus tôt, Charles. C’est juste que … que … que … que je t’aimes et que je ne mérite pas le bonheur. Je suis vraiment désolé ! »
Kathy commença à pleurer, sans pouvoir s’essuyer le visage à cause de ses mains qui étaient encore liées. Charles demeura muet pendant quelques secondes, puis respira un bon coup.
Kathy sentie alors une odeur de brûlé et lorsqu’elle regarda, elle vit qu’en posant simplement un doigt sur ses liens, Charles parvenait à les brûler. Soudain, ils se défirent. Charles se retourna et envoya une gigantesque flamme sur les gardes et profita de la confusion pour essayer de libérer Kathy.
Mais soudain, il reçu un coup dans le ventre en tomba en arrière. C’était Sarah qui se tenait devant lui, les poings serrés. Pour la première fois, Charles voyait réellement ce qu’était devenue la jeune femme.
« Sarah, qu’est-ce qui t’arrives ? Demanda-t-il en fronçant les sourcils. »
Sauf que, naturellement, Sarah ne répondit pas.
Charles tenta de lui envoyer une flamme mais elle parvint à esquiver sans aucun problème. L’instant d’après, Charles fut plaqué contre une des caisses par Sarah.
« C’est bon mon gros, je crois que t’iras pas beaucoup plus loin. » Dit-elle en sortant un revolver de sa poche. Elle plaça le canon contre la tête de Charles, mais au moment où elle allait appuyer sur la gâchette, Sarah fut brusquement envoyée contre un mur.
« T’inquiète Charles, j’en fais mon affaire. » Dit Kathy en s’avançant.
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Quand je disais quantité dans le message précédent, c'était pas pour rire : y'en a tellement que ça tient pas en un seul message.
- Spoiler:
- « T’es sûre que tu peux t’en occuper toute seule ? Demanda Charles en se relevant.
- Franchement, je saurais pas te répondre, mais je vais essayer de faire ce que je peux. En attendant, est-ce que tu crois que tu pourrais t’occuper des autres qui traînent dans le coin ?
- Ok. »
Ayant vu la flamme que Charles avait envoyé quelques instants auparavant, personne n’osa s’approcher de lui.
Pendant ce temps, Sarah et Kathy demeuraient immobiles l’une face à l’autre, sans rien dire, attendant que l’autre fasse quelque chose. Kathy tâcha d’analyser la situation et ce qu’elle savait du pouvoir de Sarah, prenant en compte le fait qu’elle ne pouvait sans doute pas se permettre de la tuer. Elle ferma alors les yeux. Sarah parue étonné pendant quelques secondes, mais haussa les épaules. L’instant d’après, elle disparue et apparue en une fraction de seconde derrière Kathy et se préparait à faire le coup du lapin à la jeune femme quand celle-ci fit un geste brusque et l’envoya contre une des caisses avec violence.
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle trouva Sarah étalé sur le sol, inconsciente. Kathy eut peur pendant quelques secondes d’avoir envoyé Sarah tellement fort contre une des caisses métalliques qu’elle l’avait tué, mais elle s’aperçu bien vite que celle-ci respirait.
Charles s’approcha alors et regarda Kathy avec l’air de lui demander ce qu’il fallait faire maintenant.
La jeune femme fit un geste de la main et amena un des gardes vers elle.
« Hé toi, comment je peux faire pour qu’elle redevienne normale ?
- Si tu crois que je vais te l’dire, tu te fous les doigts dans l … »
Kathy serra les doigts et le garde sentie sa gorge se contracter.
« Ok ok ok ! Elle a un truc sur le dos, il suffit de l’enlever pour qu’elle redevienne normale. »
Kathy l’envoya lui aussi conte une caisse. Puis, elle commença à déshabiller Sarah pendant que Charles montait la garde. Avant même de lui enlever son soutien-gorge, Kathy remarqua un espèce de pentagramme qui avait était fait avec une lame de couteau à même la chaire.
« Tu t’en sort ? Demanda Charles.
- Non, je sais pas comment faire pour faire disparaître cette saloperie sans la blesser ; j’veux dire, y’a un malade qui lui a carrément charcuté le dos.
- Si tu veux, je peux envoyer une flamme et on en parle plus.
- T’es dingue ?! Tu vas la carboniser et elle ne pourra plus jamais s’allonger de sa vie.
- J’ai pas d’autre solutions et on a pas l’éternité avant qu’elle se réveille ou bien que les autres trouvent des meilleurs armes pour nous faire la nique. »
Kathy essaya de réfléchir, mais elle n’avait absolument aucune idée. Elle savait qu’il fallait faire quelque chose le plus rapidement possible, mais le stress était trop grand pour qu’elle trouve et de toute manière, il n’y avait aucune solution.
« On va l’emporter hors d’ici avec nous, dit-elle finalement à Charles.
- Hein ?!
- Oui, et on trouvera quelque chose dehors.
- Mais si elle se réveille ? On fait quoi ?
- Je … j’en sais rien.
- Super ! »
Mais tandis qu’ils étaient en train de débattre sur ce qu’il fallait faire à propos de Sarah, celle-ci commença à grommeler, signe qu’elle se réveillait. Kathy et Charles ne le remarquèrent parce que trop occupés à essayer de trouver quoi faire ; de plus, ils ne remarquèrent absolument pas qu’à l’instant, deux Casters arrivèrent tout près d’eux, à seulement quelques mètres de là.
- Spoiler:
- Ils interrogèrent de nouveau un des gardes qui était resté là et finirent par découvrir le chemin pour rejoindre l’endroit qu’ils voulaient. Tandis qu’ils montaient les escaliers, Sarah demanda :
« Dites, est-ce que vous savez qui a tué Mike, vous l’avez attrapé ? »
Sarah sentie une boule dans sa gorge pendant quelques secondes : d’après ce qu’elle avait compris de toute cette histoire, c’était Sarah qui l’avait tué.
« Non, mais on espère y arriver. » Répondit-elle.
Ils montèrent des escaliers pendant quelques minutes, puis, ils arrivèrent à une longue passerelle au bout de laquelle il était possible de voir une issue illuminée.
« Je crois qu’on y est, dit Madeu en souriant légèrement. J’arrive pas à croire que c’est si facile que ça.
- Ouaip, dit Charles, mais on va quand même pas s’en plaindre. »
Ils avancèrent et entrèrent dans une pièce où ils virent près d’une cinquantaine des personnes, toutes habillées en costard-cravate et un homme habillé normalement, mais assit sur une chaise. On remarqua sans problème leur entrée et ils s’en rendirent compte lorsque tout le monde se tourna vers eux.
« Tient-tient, vous en avez mit du temps, dit la personne assise sur une chaise. Venez donc vous joindre à la fête ! »
Les cinq Casters ne bougèrent pas d’un poil. Chacun se méfiait de cet homme qui, même s’il savait sans doute à qui il avait affaire, demeurait plus que serein. Finalement, cet homme dit finalement :
« Alors, j’ai comme l’impression qu’on a pas été fichu de vous amener en un seul morceau … bah ! C’est pas grave. De toute manière, je suis certain que on va pouvoir trouver un terrain d’entente.
- Ça m’étonnerait, dit Madeu, on va en finir vite fait bien fait. »
L’homme regarda Kathy pendant quelques secondes.
« Dit, ça te fait pas de la peine de pas avoir pu garder Lucas en vie ? »
Kathy était surprise : comment savait-il ça ? Mais soudain, elle ressentie une vague incommensurable de tristesse monter en elle. Elle tenta de la réfréner, mais il n’y avait absolument rien à faire, elle était trop forte.
« Pourquoi est-ce que t’as pas pu le sauver, hein ?
- La ferme ! Hurla Kathy en serrant les poings.
- Oh ! Est-ce que j’aurais touché un poing sensible ? C’est certain que si tu avais fais un peu plus attention et que si tu avais plus aimé ton bébé, il serait encore en vie. Pour moi, le fait qu’il est mort prouve une qu’il y a quand même une certaine négligence de ta part … je pense bien que tu déduis la suite.
- Ferme-là ! Hurla Kathy qui sentait qu’elle était sur le point de pleurer.
- Kathy, c’est pas le moment de craquer, lui dit Charles en s’approchant d’elle, je t’en pries ! »
Kathy serra Charles contre elle en l’enlaçant de ses bras et répondit en pleurant :
« Charles, je t’en pries, si tu m’aimes, tues-moi ! Pitié, tues-moi !
- Mais qu’est-ce que tu racontes, jamais je te tuerais ! » S’exclama Charles.
Kathy le serra encore plus contre elle.
« Je t’en pries, je mérite pas de vivre ! Je … je suis qu’une salope et je mérite de mourir.
- Dis pas ça, lui répondit Charles, pourquoi est-ce que t’es comme ça tout d’un coup ? »
Sarah fronça les sourcils et fixa l’homme qui se trouvait dans la chaise en train de sourire.
« Je crois que j’ai trouvé le coupable. » Dit-elle.
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Arf je sais ce que je vais lire moi demain ! :zzzz:
Ca fait plaisir que tu sois de retour, et vu ton avatar, on va avoir droit à de la bonne piè-pièce racinienne ! ^^
(standing ovation) TRIPLE B ! TRIPLE B ! TRIPLE B !!!!
**************edit****************
Ca en faisait des chapitres effectivement ! Mais ça n'en était pas moins agréable...
Sarah m'a fait un peu peur... x__x
Mais... à la fin... tu dis qu'ils sont 5 casters, c'est qui celui qui est arrivé avec Madeu ? on le connait ou c'est un illustre inconnu ?
Sinon rien à dire, moi j'aime toujours autant l'histoire et les persos, mais on dirait que toi, tu ne partages plus ce point de vue... T.T
Ca fait plaisir que tu sois de retour, et vu ton avatar, on va avoir droit à de la bonne piè-pièce racinienne ! ^^
(standing ovation) TRIPLE B ! TRIPLE B ! TRIPLE B !!!!
**************edit****************
Ca en faisait des chapitres effectivement ! Mais ça n'en était pas moins agréable...
Sarah m'a fait un peu peur... x__x
Mais... à la fin... tu dis qu'ils sont 5 casters, c'est qui celui qui est arrivé avec Madeu ? on le connait ou c'est un illustre inconnu ?
Sinon rien à dire, moi j'aime toujours autant l'histoire et les persos, mais on dirait que toi, tu ne partages plus ce point de vue... T.T
Lulu-sama- You have no Idea how Active
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Localisation : 26° N latitude 72.9 roger latéral droit ne répond plus
Re: The Casters
Coucou !
Contrairement à une
opinion généralement admise par les hamsters et les hiboux, j'ai un ou
deux neurones de mémoire et je me souviens que j'ai promis d'écrire au
moins un chapitre par jour pendant les vacances. Bon, commençons avec
celui-ci en espérant que les personnages n'ont pas étés oubliés tel
l'honnêteté pour les politiciens français.
Contrairement à une
opinion généralement admise par les hamsters et les hiboux, j'ai un ou
deux neurones de mémoire et je me souviens que j'ai promis d'écrire au
moins un chapitre par jour pendant les vacances. Bon, commençons avec
celui-ci en espérant que les personnages n'ont pas étés oubliés tel
l'honnêteté pour les politiciens français.
- Spoiler:
Tous regardaient l'homme qui se trouvait
au fond de la pièce, cet homme qui les observait tranquillement en
train de fondre en larmes. Sarah surtout le regardait car elle était
convaincu d'avoir enfin trouvé l'ordure responsable de la mort de Mike.
Elle brandit son pistolet, mais tandis qu'elle allait lui tirer dessus,
elle ressentie une immense vague de tristesse lui sauter à la gorge.
"Bon
Dieu, mais qu'est-ce qui se passe ?! S'exclama-t-elle en plaquant sa
main libre sur son visage, c'est pas le moment de flancher, merde !"
Lorsqu'elle ôta sa main, elle se rendit compte qu'il s'était enfuit.
Elle regarda autour d'elle et vit toujours Kathy et Charles dans les
bras l'un de l'autre, Madeu et Teuten essayant de les raisonner. Ce
n'est pas une vague de tristesse, mais bien une vague de fureur qui
monta en elle.
"Mais bon sang de merde, vous allez le laisser filer
?! Hurla-t-elle aux autres, vous allez laisser ce connard de salopard de
fils de pute s'enfuir ?!
- On va bien finir par le rattraper, lui
répondit Teuten, il peut pas s'échapper : en venant ici, le professeur
et moi on a fait en sorte que les portes de l'immeuble soient impossible
à utiliser.
- Et ?
- Voilà quoi, pas la peine de paniquer.
-
J'ai compris, dit Sarah en serrant les poings et les dents.
- Compris
quoi ? " Lui demanda Teuten.
Brusquement, elle disparue. Quelques
secondes plus tard, Kathy et Charles commençaient à se sentir
relativement mieux. Ils s'excusèrent, ne comprenant pas ce qui s'était
passé. Quoique Kathy se souvint avoir commencé à agir bizarrement après
avoir crisé le regard de cet inconnu.
Cet homme, justement,
venait de réussir à monter sur le toit de l'immeuble, là où un
hélicoptère l'attendait. Il était à la fois frustré d'avoir échoué à San
Francisco, mais il se disait qu'il allait avoir d'autres occasions de
faire de servir son maître et que de toute manière, tous ces enfoirés du
gouvernement le payeraient au prix cher quand Bétraid l'apprendrait.
"Chef,
derrière vous !" Cria le pilote de l'hélicoptère.
L'homme se
retourna donc et eut à peine le temps de voir Sarah qu'elle lui envoya
un coup de poing surpuissant dans la figure, lui démolissant la moitié
du nez. Il s'écroula par terre, hurlant de douleur avec la main sur le
visage et son sang coulant par terre. La jeune femme le prit alors par
le col et lui mit le canon du flingue qu'elle tenait contre la tempe.
"J't'ai
enfin trouvé espèce de connard, je vais enfin pouvoir te buter !
Dit-elle avec un sourire dément sur le visage.
- Attends, j'ai des
infos vitales pour ton organisation machin là, tu vas quand même pas me
tuer.
- J'en ai rien à foutre de ça, je vais te tuer ici et
maintenant !, C'est ta faute si Mike est mort, c'est la première
personne avec qui je me sentait vraiment heureuse et il est mort par ta
faute ! "
L'homme sourit alors légèrement, en dépit de sa blessure.
Cela rendit Sarah encore plus furieuse et elle lui donna un coup de
crosse.
"Qu'est-ce qui te fait rire espèce de salopard !?!
- Je
trouve juste un peu ironique que tu veuille me buter pour un meurtre que
TU as commis."
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Aujourd'hui, je m'en veux d'avoir fait un chapitre qu'avec des personnages manichéens ... bon, j'espère tout de même que c'est pas si grave que ça et que ça va pas me poursuivre jusqu'à la 30ème génération.
- Spoiler:
- "Qu'est-ce que tu raconte ? Demanda Sarah qui était brusquement devenue incroyablement pâle. J'ai pas ... tué Mike.
- Ben si.
- Mais non !
- T'as été sous notre contrôle pendant plusieurs jours et ...
- Comment ça ?
- Quoi, tes potes t'ont rien dit ? T'as été sous notre contrôle pendant un certain temps et on a pu s'arranger pour que tu te mettes à tuer des gens de chez toi sans que personne ne pense à te faire porter le chapeau."
Le pire c'était que, maintenant qu'elle y pensait, Sarah se rappela bizarrement avoir des trous de mémoire depuis quelques temps ; et puis surtout, elle s'était endormie un soir pour se retrouver dans un étrange entrepôt, il y a une heure de cela.
"Et pour le premier test, on t'as fait tuer ton petit copain." Rajouta l'homme.
Soudain, les doigts de Sarah qui tenaient le col de l'homme le lâchèrent. Puis, la jeune femme s'écroula par terre, sans pour autant perdre connaissance. Elle n'arrivait pas à en revenir, mais pourtant, tout ce qu'elle savait semblait concourir à cela : c'était effectivement elle qui avait tué Mike.
Mais alors que l'homme allait monter dans l'hélicoptère, Kathy et les autres apparurent. Il ne leur fallut que quelques secondes pour comprendre ce qui s'était passé et Charles eut vite fait de détruire les hélices de l'hélicoptère à l'aide de ses flammes.
"Sarah ! S'exclama Kathy en voyant son amie à genoux en train de pleurer, qu'est-ce qui se passe ?"
L'équipage de l'hélicoptère eut tôt fait d'évacuer ; ils étaient cinq au total en comptant leur chef et il y avait fort à parier qu'il n'y avait que des Casters là-dedans.
"Allez les gars, dit Madeu, il va falloir faire gaffe mais je crois qu'on peut les avoir et attraper leur chef.
- J'aimerais bien voir ça, lui répondit l'homme en souriant. J'ai pas choisi mes gardes du corps par hasard, ce sont les mei ..."
C'est alors que les fameux gardes du corps se mirent à exploser, les uns après les autres, éclaboussant l'homme de sang et de boyaux.
"J'en ai assez de cette petite comédie espèce de connard, moi aussi j'ai des comptes à vous rendre, dit Kathy en serrant les poings.
- Ah oui, ton fils, dit l'homme en reprenant confiance en lui, c'est vrai que c'est quand même dommage, non ?"
C'est alors que Kathy sentait de nouveau cette terrible vague de chagrin naître en elle et serra les dents. Elle réfléchit tandis que cette émotion grandissait, devenait de plus en plus puissante. Brusquement, elle regarda l'homme dans le blanc des yeux et, se servant de son pouvoir, fit exploser ses yeux.
Devant la stupeur de ses coéquipiers, Kathy s'avança vers l'homme qui était tombé à terre (en plein milieu des cadavres de ses gardes du corps) et hurlait d'une voix stridente. Elle s'agenouilla en face de lui et, le prenant par les cheveux, lui envoya un coup de poing surpuissant dans la machoire.
"C'est bon, dit-elle finalement, notre cher ami est neutralisé. On peut enfin appeler les autres pour leur dire de ramener leur cul ici et récupérer la marchandise."
Mais tandis que tout le monde était concentré sur ce qui venait de se passer de ce côté-là, Sarah leva le bras, plaça le flingue qu'elle tenait encore contre sa tempe et appuya sur la gâchette.
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Arg ! x_x Le spoil du premier chapitre posté fait apparaître le texte bleu marine direct sur le marron. ;p
2 chapitres d'un coup ? Je suis gâtée !
Et doublement en plus ! Tu t'es souvenue d'une certaine promesse.... gniark... mais non je suis pas une tortionnaire, amuse-toi pendant les vacances mon Philou ! ^^'
Dis donc qu'est-ce qu'ils sont vulgaires dernièrement dans tes chapitres ! Approcherions-nous de la... fin...?
Sinon je suis dé-goû-tée pour Sarah, mais on savait que c'était elle....
Marci BBB !
(vous gérez Tewa et toi ! j'ai plein de chapiiiiiitreeeeeuh !!!!)
2 chapitres d'un coup ? Je suis gâtée !
Et doublement en plus ! Tu t'es souvenue d'une certaine promesse.... gniark... mais non je suis pas une tortionnaire, amuse-toi pendant les vacances mon Philou ! ^^'
Dis donc qu'est-ce qu'ils sont vulgaires dernièrement dans tes chapitres ! Approcherions-nous de la... fin...?
Sinon je suis dé-goû-tée pour Sarah, mais on savait que c'était elle....
Marci BBB !
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Re: The Casters
Allez, toutes les bonnes choses ont une fin et voici celle de cette histoire, en espérant qu'elle était pas si mauvaise que le gouvernement française.
- Spoiler:
- Tandis que Madeu appelait le QG pour demander des renforts, Kathy s'approcha de Sarah qui était toujours en train de pleurer, une main sur la figure. Lui mettant la main sur l'épaule, elle lui demanda alors :
"Qu'est-ce qui se passe, qu'est-ce qui t'es arrivé ?
- Le flingue, dit-elle en le présentant à Kathy, y'avait plus de munitions dedans ! Plus de munitions !
- Et alors ?
- T'as pas un flingue sur toi ?
- Non, pourquoi ?
- Passe-moi un flingue, j'ai besoin d'un flingue ! Cria Sarah en frappant le sol.
- Mais qu'est-ce que tu racontes ?! S'exclama Kathy en croisant les bras, explique-moi !"
Sarah détourna la tête, ne voulant manifestement pas lui parler. Sauf que Kathy devina sans trop de problème ce qui se passait.
Deux heures plus tard, tout le monde était enfin en sécurité tandis que la police se chargeait de vérifier les lieux. On avait éloigné les foules et Madeu tachait d'expliquer le mieux possible ce qui s'était passé. Kathy et Charles étaient assis sur un banc, l'un à côté de l'autre, une tasse de thé à la main et des couvertures sur les épaules. Ils gardaient le silence, chacun gardant à l'esprit le fait qu'on ait dû endormir Sarah pour la faire descendre et la faire rejoindre le groupe.
"Bon alors, je crois que c'est bon là, dit Kathy, on les as eu.
- On dirait oui."
Un petit moment de silence, puis, Charles dit :
"A propos de ce que tu m'a dis tout à l'heure, tu sais ... quand on était ligoté et tout.
- Oui ?
- Tu le pense vraiment ?" Demanda-t-il en serrant.
Kathy resta silencieuse pendant quelques instants. Elle posa son verre à côté d'elle et, se rapprochant de Charles, elle plaqua ses lèvres contre les siennes. Pendant près de cinq secondes, Charles ne savait pas quoi faire, mais finalement, il lâcha son verre, passa ses mains derrière Kathy et la serra contre lui.
"Alors ? Demanda la jeune femme, ça te suffit comme réponse ?"
Charles la prit dans ses bras, ferma les yeux et répondit en souriant :
"Oui, et amplement !"
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Re: The Casters
Attends attends attends..... ZI END ? Pour de vrai ?
Naaaaaaouuuuuuuuuunnnn !!!!!
Sympa la fin (tu m'as pas fait mourir ceux que j'aimais bien alors ça va ^^) mais.... quelle rapidité !
T'en avais vraiment marre de ton histoire on dirait... pourtant elle était super Philou, je repense au tout tout début... et bah c'était un sacré livre que tu nous as fait !
Naaaaaaouuuuuuuuuunnnn !!!!!
Sympa la fin (tu m'as pas fait mourir ceux que j'aimais bien alors ça va ^^) mais.... quelle rapidité !
T'en avais vraiment marre de ton histoire on dirait... pourtant elle était super Philou, je repense au tout tout début... et bah c'était un sacré livre que tu nous as fait !
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Re: The Casters
Désolé, mais c'était une blague à la Triple B. En fait, quand j'ai vu que tu levais la possiblité que ça puisse se finir, j'ai pas pu résister ... bon, j'espère que tu m'en veux pas trop
- Spoiler:
- Plusieurs mois étaient passés. On avait pu éviter le pire car en faisant
parler les prisonniers qu'on avait pu capturer, le FAM a pu saisir
l'ensemble des stocks de peste septicémique de la région. Le FAM soignait
ses plais, les trous dans ses effectifs étant comblés par à peu près ce
qu'on pouvait bien trouver (ce qui allait de vétérans venant du Centre à
des petits jeunots d'à peine 17 ans). Finalement, à mesure que le temps
filait et que San Fransisco reprenait peu à peu un visage normal,
l'automne cédait sa place à l'hiver.
"Kathy ?"
La jeune femme se réveilla et ouvrit lentement les yeux.
"Youhou."
Il était sympa, mais quand on passe des nuits aussi courtes, on aime
bien se reposer après.
"Y'a des toasts, tu thé et des clémentines".
C'est bon, il savait pile là où il fallait frapper.
Se redressant, Kathy enfila une chemise. A côté d'elle, Charles venait de s'assoir sur le lit avec en main un plateau sur lequel se trouvait leur petit déjeuner. Kathy n'avait jamais compris comment Charles faisait pour être aussi matinal (peut-être bien que ça tenait au fait qu'il devait aller travailler, lui), il était déjà douché et habillé en smoking (s'il-vous-plaît).
"Comme nous disions donc, dit-il en prenant le la théière en main, du thé pour mademoiselle. A combien ?
- Disons 57°C ce matin."
Quelques secondes plus tard, Charles reposa la théière sur le plateau et fit cuire les toasts à main nues.
"Ca t'ammuses vraiment de faire ça ? Demanda Kathy en s'étirant.
- Oh oui ! Terriblement !
- A mon tour alors."
A l'aide de son pouvoir, elle put en même temps tartiner les toasts, servir le thé et préparer les clémentines.
"Et na."
Une demi heure plus tard, ils sortirent tous les deux de la chambre, Kathy s'étant enfin habillé. Le couloir était plein à craquer, surtout depuis qu'on avait doublé les effectifs le mois dernier.
"Hé, rappelle-moi un peu pourquoi on a besoin de tout ce monde, demanda Kathy en boutonnant les manches de sa chemise.
- On a toujours pas capturé le chéri Bétraid ; jusqu'à nouvel ordre, il peut être n'importe où.
- Si tu l'dis ... bon, je vais aller rendre une visite à Sarah moi.
- T'es sûre, je crois pas qu'elle ait envie de voir qui que ce soit ces jours-ci.
- Je sais, mais ça fait plusieurs jours qu'elle a pas quitté sa chambre et je crois que ça lui fera du bien."
Après s'être rapidement embrassé, ils se quittèrent et Kathy se rendit jusqu'à la chambre de Sarah. En ouvrant le porte, elle entre dans une pièce obscure, sans aucune fenêtre ouverte et avec une odeur absolument horrible. Au milieu de tout ça, elle vit une forme encore allongé sur le lit ; s'approchant, elle dit :
"Coucou, ça va ce matin ?"
Sarah ne répondit pas. Kathy alluma tout de même la lumière et fut assez troublée de voir à quel point Sarah avait maigri, à quel point elle était pâle ; elle savait bien que son amie avait perdue 10 kilos en 20 jours, mais tout de même !
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Enf**** !!!!!
Ca aurait pu faire une fin, mais ça aurait été la fin à la hollywoodienne, tu sais... ambulances... flics.... immeuble en flammes et... le couple qui s'en sort ! lol
Donc tu vas ..... finir autrement et... tu vas... faire mourir des gens encore !
T'es horrible ! machiavélique ! tortionnaire !
XDD
Pour la peine je lirai que demain !
Ca aurait pu faire une fin, mais ça aurait été la fin à la hollywoodienne, tu sais... ambulances... flics.... immeuble en flammes et... le couple qui s'en sort ! lol
Donc tu vas ..... finir autrement et... tu vas... faire mourir des gens encore !
T'es horrible ! machiavélique ! tortionnaire !
XDD
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Re: The Casters
Faut comprendre, la tentation d'une blague était tellement forte que c'était un crime que de ne pas céder
Racineleretour- Modo
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Re: The Casters
Oui je sais comment tu fonctionnes, rassure-toi ! ^^
C'était une bonne blague mais ... je dois dire que j'y croyais qu'à moitié !
En même temps j'ai pas voulu trop insiter, vraiment la sensation que les Casters te lourdaient récemment.... un peu comme une maman qui aurait marre de ses mômes ! ^^
C'était une bonne blague mais ... je dois dire que j'y croyais qu'à moitié !
En même temps j'ai pas voulu trop insiter, vraiment la sensation que les Casters te lourdaient récemment.... un peu comme une maman qui aurait marre de ses mômes ! ^^
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