La haine !

Si jamais je parviens à t'aider de quelque façon que ce soit, je ne considérerais absolument pas ça comme du temps perdu. Crois-moi, je sais de quoi je parles : pendant cette année, j'ai aussi eu ma période pendant laquelle je me considérais comme une pourriture et voilà quoi ... c'est finalement le dialogue avec autrui qui m'a aidé à me tirer de là.

Je préfère donc le l'échange au silence qui nous empoisonne parfis l'existence.

Moi, on m'a toujours dit que j'étais super forte, super talentueuse et mature... >.>
D'une certaine manière, je regrette d'avoir de la chance...

Si tu tiens vraiment à m'appeler, libre à toi, mais c'est inutile. Je suis disponible tous les jours de 16 à... 4 H (le matin, je dors). Mais pas entre 18 H et 20 H : "en toutes Lettres" et "le juste Prix", c'est sacré ! Pour faire simple, tu peux m'appeler n'importe quand sauf entre 18 H et 20 H (si tu as envie de perdre ton temps et ton crédit de portable). Si tu veux savoir pourquoi c'est vain de m'appeler et pourquoi j'ai tant la haine sur la vie :

Spoiler:

Si tu parviens à me sortir de la dépression et à me convaincre de rester vif, ou si quelqu'un a la solution............... j'invite tout le monde à la plage pour l'été 2011 (et si j'ai assez de pognon, c'est pas gagné). Sinon.......... plus de Yoshisforce.
Pour le casino : j'attends une lettre qui confirmera le licenciement et les indemnités que j'aurai (le 00). Et vendredi, au lieu d'aller bosser, j'irai parler au directeur de ça, je suis sûr qu'il aurait pu m'apprendre à être à la convenance du casino (et en même temps je dois rendre des choses comme les chemises du casino).
Et le manque d'un côté humain, c'est pour tous les métiers. La vie est cruelle.
Le 8 avril, j'ai rendez-vous chez le psychiatre.

LA bonne nouvelle : Nath ne m'a pas abandonné, elle n'a pas tenu compte du mail de mes parents. Mes parents ne savent rien du tout mais ils devront bientôt le savoir.

Rien ne va plus.

D'accord, j'essayerai de te passer un coup de fil ce soir.

Désolé de le dire maintenant, il y a un problème : je rentre chez mes parents donc évite de m'appeler. Je ne veux pas qu'ils sachent que tu as mon numéro.

D'accord, quand est-ce que tu veux que je te rappelles ?

Le soir, ça se pourrait, après 21 H, si mes parents regardent un film...

La vie n'est jamais facile Szysko.
Alors si tu t'arrêtes en te heurtant au premier rocher venu, tu ne progresseras jamais.
On devient toujours plus fort en apprenant de ses propres erreurs mais aussi de celles des autres.
Et comme on dit, il y a toujours un mal dans un bien et.... un bien dans un mal.
Ce qui veut dire que "perdu" n'est pas forcément toujours "perdu", ça peut aussi être "retrouvé".

Il y a aussi un côté important qu'il faut mettre de côté justement: le nombrilisme.
S'apitoyer sur son sort est une chose. Accuser les coups pour aller de l'avant en est une autre.
On a beau être malheureux, il faut toujours garder à l'esprit que d'autres souffrent davantage que nous, et que par là-même, on n'a pas le droit de bafouer leurs fardeaux avec nos poids moindres.
Je ne te dis pas que tu n'as pas le droit de te sentir malheureux, mais tu n'as pas le droit de garder cette position inconfortable en te complaisant dedans.
La vie t'a mis une claque ? Sens-la passer, puis sers-en toi pour avancer.

Souvent, on se sent perdu, on a envie de "théâtraliser" sa vie tellement elle est tragique, mais il y a tant d'autres aspects de la vie qui méritent d'être découverts, vécus, ressentis, partagés.... que ça ne vaut pas la peine de jeter l'éponge aussi facilement.
Quand tout semble perdu, il y a toujours une solution qui réside quelque part, et qui attend le bon vouloir de celui ou celle qui viendra la trouver.

Aujourd'hui, cette solution pour toi, c'est peut-être NOUS.
Si tu as besoin d'une oreille attentive, on est là.
Ne gâche pas tout sur un coup de tête.
Relativise. Prends du recul. Mets-toi des claques mentalement. Ressaisis-toi. Sois FORT.

Car tu as beau dire, mais sur ce cabanon, nous sommes tous unis par un lien de tendresse mutuellement partagé, et rien que pour préserver ce lien, tu devrais te battre, et ne jamais baisser les bras...

J'avais 11 ans quand je me suis fait la réflexion; quand je me sentait mal, je dramatisait pour me sentir encore plus mal... Parce que j'aimais bien avoir l'impression d'être le "Ôôôôôh! Je suis toute seule! Pauvre de moi! Aidez-moi". J'adorais que ma mère me réconforte avec des calins et des "Mais non! Tout le monde t'aime!"
J'avais 11 ans, donc, quand je me suis dis "Mais y'aura toujours dieu (J'était chatolique praticante) qui va m'aimer; il a pas le droit de faire autrement! Et ma maman, je pense pas qu'elle ne pourra pas m'aimer! Et mon frère non plus! Et anneso non plus! Ni Kim! Ni mes potes! Ni mes profs!..."
Et c'est là que je me suis rendue compte que j'avais l'air conne à toujours exagérer. Depuis, je pleure presque pas! ^^

A Tetra-chan : Dieu ! Mais s'il existait, on n'en serait pas là ! Comment tu as pu y croire ?
A Lulu-sama : si tu veux la liste des difficultés que j'ai eues rien qu'en partant de la rentrée de 2008 et dans l'ordre :
- des profs chiants à faire le rebelle et à se faire mettre à pied et menacer de renvoi (les colles, ne les comptons pas),
- le ratage de mon BAFA,
- la faculté de médecine,
- les dépressions successives,
- l'hospitalisation,
- le refus à un restaurant puisqu'ils refusaient les débutants,
- le licenciement du casino,
- et me faire engueuler continuellement par mes parents.
Par intermittence, des tentatives d'arrêt toutes ratées.
Si la solution est vous, ben elle n'a pas encore fait ses preuves, ou bien elle est foireuse.
Pour trouver du travail, je suis dans les dernières tentatives, les dernières cartes à jouer (déjà je disais que croupier était ma dernière carte). Si je trouve ET que ça me plait, tant mieux (dans le service au restaurant ou ailleurs). Sinon, plus de Yoshisforce.

Ma haine du jour: C'EST QU MONSTER HUNTER 3 SORT LE 23 ET QUIL ME RESTE TOUTE LES VAC A ATTENDRE PLUS UNE SEMAINE DE COUR

"Chacun ses merdes" comme dit l'autre.... XD

Petit veinard va.