Pas de nom
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Pas de nom
Voilà le premier chapitre d'une fic que j'écris, elle n'a pas encore de nom excusez-moi^^
Alors, qu'en pensez-vous ?
- Spoiler:
- Chapitre 1: Sarasa.
Dans la rue, l'homme avança, s'approchant d'une auberge, il lut le nom de l'auberge, "Chez Gen"
puis avança.
Il passa à travers le trou grossier décoré de quelques lanières de tissus blancs faisant office de porte.
L'auberge était assez animée, des chandelles éclairaient fortement les tables de bois, d'aspect solide ;
les quelques chaises étaient mises devant le comptoir, devant ce même comptoir, un homme d'aspect robuste, mais âgé, essuyait
quelques verres sales. Une ouverture semblable à la porte se profilait derrière le comptoir.
Les clients étaient une vingtaine, que des hommes, jouant aux dés, aux cartes pour la plupart ; d'autres discutaient et et rigolaient
quelques ivrognes se cachaient au fond de la salle, sales et assis par terre, dérangeant un peu l'aspect propre de l'auberge.
L'homme, entra, provoquant l'arrêt du bruit ; et attirant l'attention de la plupart des clients, en effet, ses vêtements étaient plutôt étranges,
Une longue toge noire en tissu, un chapeau chinois duquel pendaient des lanières semblables à celles de l'entrée, de couleur
blanche également, mais plus étrange encore, un sabre pendait dans son dos, dans son fourreau.
Les réaction étaient variées:
Certains client semblaient prendre peur, d'autres haussèrent simplement les épaules, le vieil homme sourit, et les ivrognes
n'y firent même pas attention, cherchant plutôt la meilleure manière de voler les bouteilles des autres.
L'homme ne s'en préoccupa pas, il s'assit simplement à une des rares tables vides et enleva son chapeau chinois,
découvrant un visage jeune, des yeux verts et des cheveux en bataille.
Il se tourna vers le vieil homme et dit:
- une coupe de saké.
Souriant, l'aubergiste séxagénaire commença à chercher une bouteille dans un vieux placard. Les discussions reprirent,
et les ivrognes semblaient ennuyés par cette reprise : en effet, il était maintenant plus difficile de voler les bouteilles,
l'attention n'étant plus sur le jeune arrivant, seul un des poivrots semblaient heureux et serrait contre lui une bouteille de
champagne à moitié vide ( ou pleine ) provoquant quelques regards furieux de ces congénères, visiblement jaloux.
L'aubergiste prit dans le placard une bouteille d'aspect neuf, contrastant étrangement avec le placard dont elle provenait,
puis il versa le contenu dans une coupe, puis la tendit au visiteur.
On pouvait entendre un homme d'âge mûr demandant si quelqu'un avait vu sa bouteille de champagne, et également
un gloussement venant du fond de la salle.
Le nouveau venu prit la coupe de saké, bu un peu, puis s'adressa au tavernier :
-Vous ne me demandez pas si j'ai l'âge pour ça ?
Le tavernier sourit, puis répondit:
-Tu n'es pas d'ici toi ?
-En effet, dit le jeune homme d'un air stupéfait, comment le savez-vous ?
-Ici, à Sarasa, quand on a un client, on ne va pas le faire fuir, dit-il en riant
-C'est la ville la plus pauvre du continent...
-...le plus pauvre, acheva son aîné, Dërénîà.
Il avait prononcé le dernier mot d'une façon sèche, puis il prit un ton plus doux :
-Alors, d'où viens tu ? Sais-tu te servir de ton sabre ? dit-il en jetant un coup d'oeil au fourreau déposé sur la table
Cette question avait attiré l'attention de quelques personnes dans la salle.
-La curiosité est un vilain défaut, répondit-il avec un sourire
Le tavernier sourit à son tour, puis continua la discussion :
-Je n'aurais jamais pensé entendre ça d'un jeune, mais sache que la curiosité est une valeur humaine, tout comme l'est
l'amour ou la haine.
Le visiteur prit un air choqué puis un air haineux, il dégaina son sabre si vite que le fourreau tombît de la table.
Puis il colla son sabre contre la gorge de son interlocuteur et cria :
-Qui es-tu ? Quel rapport as-tu avec les Sahaka ?
L'air s'était tout à coup solidifié, les conversations cessèrent, les ivrognes étaient également choqués, un petit homme
rampait sous les tables, en direction du fourreau tombé par terre.
-Qui est curieux? Il respira puis dit finalement :
Je suis simplement Gen, le tavernier.
Il était le seul dans la salle à être calme, il semblait même amusé par la situation.
-Ne te fiche pas de moi !
L'homme qui avait perdu sa bouteille de champagne, défiant son courage, brandit son poing en disant "lâche Gen!" et essaya de frapper le jeune homme,
celui-ci lui bloqua le bras, et colla son sabre contre ce même bras, sans quitter des yeux Gen, de peur qu'il s'enfuisse,
puis il s'adressa à son attaquant :
-Ne m'oblige pas à te rendre manchot, va t-en !
L'homme, tremblant, acquiesca d'un signe de tête, et recula en direction du fond de la salle, il prit la bouteille de champagne
des mains de son voleur, qui ne fit rien contre, et but une grande gorgée.
-Tu es si jeune, tu n'es pas capable de tuer, dit Gen
-Tu veux peut-être que je te le prouve ? dit son agresseur en replaçant son sabre sous la gorge de Gen.
-S'il te plaît, revouvoie-moi, c'est plus poli...
,
Le jeune homme hésita, puis enleva son sabre de la gorge de Gen, se rassit, donna un coup de pied à l'homme qui essayait de
lui voler son fourreau, puis s'adressa à Gen sur un ton de récitation :
-L'homme n'a aucune valeur, ce n'est qu'un virus implanté sur la Terre, et qui la détruit.
-Un virus ne peut ressentir des émotions, répondit Gen sur ce même ton de récitation .
-C'est pour cela que c'est une erreur dans le système.
-Ce système lui-même est peut-être une erreur également.
-C'est donc ainsi que rien ne doit être et pourtant l'est, que tout semble logique et pourtant ne l'est pas,
que ce monde ne possède pas de loi.
-Et c'est pourquoi il ne devrait pas y en avoir, finit Gen.
Il y eu un moment de pause, durant presque tout le monde cherchait à comprendre ce que voulait dire Gen et son jeune attaquant.
Ce fut ce même attaquant qui reprit la parole :
-Je vais peut être rester plus longtemps ici que prévu
-Tu m'en vois ravi.
-Je ne vous oublie pas ( Gen sourit lorsqu'il entendit le "vous" ), je vous garde à l'oeil.
-Dans ce cas, viens me voir dem...
Il s'interrompit lorsqu'il remarqua que tout le monde le regardait. Il fit un signe au jeune homme en lui indiquant l'ouverture
derrière le comptoir.
Lorsqu'il furent tout les deux à l'abris des oreilles indiscrètes, Gen dit:
-Si tu veux rester à Sarasa, tu dois avoir un travail.
-Pourquoi ?
-Tu le sauras demain, bref viens demain ici, je t'emploierais.
-Et si je ne veux pas ?
-Je pense que tu es d'accord, mais avant, quel est ton nom ?
-Mon nom ? Amata...
Alors, qu'en pensez-vous ?
Dernière édition par squitcher le Mer 15 Juil - 17:37, édité 1 fois
A supprimer- Membre
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Re: Pas de nom
J'ai lu, j'n'ai pas compris grand chose ^^ J'attends le prochain chapitre pour mieux comprendre ^^
Sinon, un conseil «...devant le comptoir, devant ce même comptoir, un homme...», le ce même comptoir est trop répétitif, mets plutôt «...devant le comptoir, devant celui-ci, un homme...». J'ai remarqué quelque fois ces types de répétition ^^
Sinon, un conseil «...devant le comptoir, devant ce même comptoir, un homme...», le ce même comptoir est trop répétitif, mets plutôt «...devant le comptoir, devant celui-ci, un homme...». J'ai remarqué quelque fois ces types de répétition ^^
Shouka-san- Membre
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Re: Pas de nom
Ok, c'est normal que tu ne comprenne pas tout, pour les répétitions je vais essayer de les éviter par la suite^^
A supprimer- Membre
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Re: Pas de nom
Voilà le deuxième chapitre, il est composé de deux parties :
1) Une ville labyrinthique
2) Un boulot épique
Bon voilà :
Au fait j'ai édité le premier message et ai mis le chapitre 1 en spoiler, enjoy
1) Une ville labyrinthique
2) Un boulot épique
Bon voilà :
- Spoiler:
- Chapitre 2 : le job
Le lendemain, marchant dans Sarasa, Amata se demandais quel serait ce boulot que Gen allais lui proposer. Vu la curiosité qu'il avait eu à propos de son sabre, et son attitude la veille, il était certain qu'il n'aurait pas à essuyer des verres sales avec un torchon qui l'est deux fois plus, mais il n'empêchait que ce travail l'intriguait vraiment.
Plongé dans ces pensées, il marchait sans vraiment faire attention où il marchait. Lorsque qu'il se retrouva devant la mairie, il se rendit compte qu'il n’était absolument pas sur la route de la taverne de Gen. Jetant un coup d'œil à une carte de la ville se trouvant sur un panneau devant la mairie. Il constata que ce plan ne lui était d'aucune utilité au vu de l'immense labyrinthe qu'étais Sarasa, il demanda à quelques personnes le chemin du quartier des tavernes. Après plusieurs insultes, appels aux viols et de coups d'œil intéressés sur son sabre, il finit par trouver une personne qui lui indiqua la route jusqu'au quartier désiré. Il se remit en marche, mais cette fois-ci en gardant un œil sur le chemin qu'il prenait.
S'enfonçant de plus en plus dans Sarasa, il constata que l'ambiance et l'état des lieux était largement différent de la place de la mairie où la rue était propre, des gens normalement vêtus, des chemins tracés.
Ici, tout était sale, du sang recouvrait la rue, les gens avaient l’air de mendiants, et le dédale des chemins étaient un vrai enfer pour se diriger, heureusement le quartier des tavernes était assez fréquenté et il n’eu qu’à suivre une personne au nez d’un rouge si intense qu’on l’aurait cru ensanglanté.
Titubant, ils n’en était que plus lent et Amata prit un rythme plutôt ralenti et prit bien le temps de regarder en détail la rue. A part le sang par terre – dont il n‘accordait aucune attention, le sang était une valeur familière chez lui – rien ne semblait très étrange, mais ce ne fut que lorsque son guide s’arrêta pour vomir qu’il remarqua un de ceux qu’il avait prit pour des mendiants, il le regardait d’une façon bizarre, une main sur ce qui semblait être un manche de couteau, cependant, il ne semblait pas vouloir l’attaquer effrontément, surtout qu’il reluquais le fourreau qui pendait au dos du jeune homme, il conclut qu’il était tranquille pour le moment tant qu’il portait son sabre.
Une fois la régurgitation finie, ils poursuivirent leurs route et arrivèrent au quartier des tavernes, Amata laissa son guide aller dans une taverne devant lequel une femme assez peu vêtue l’accueillît, tout joyeux il la suivit, mais il ne remarqua pas le manche de couteau qui dépassait de ses collants…
Amata arriva finalement devant le vieux panneau « Chez Gen » qui devait avoir plus de 1000 ans.
Pénétrant dans la taverne, il fut accueilli par un flot de regards curieux. Tel un acteur d’une pièce de théâtre, tous les regards étaient braqués sur lui, les spectateurs attendant impatiemment qu’il fasse quelque chose.
En premier lieu il ne put que regarder, passant son regard vert sur chacun des spectateurs, il reconnu des têtes vu la veille, mais il y avait beaucoup d’inconnus, c’étaient d’ailleurs eux qui en général le regardaient avec avidité. Lorsqu’il plongea dans les doux yeux bleu-gris de Gen, il réagit, et s’avança vers le doux tavernier, tout en étant suivi d’une foule d’yeux médusés.
Le dit vieil homme semblait quelque peu gêné par cette arrivée sur la scène, qu’il espérait plus discrète.
Posant son verre qu’il nettoyait depuis vraisemblablement 3 ans, il fit signe à Amata l’ouverture se profilant derrière le comptoir, celle où, la veille, il lui avait demandé de revenir.
Suivant son futur patron, il l’accompagna dans la dite salle, la salle était petite et remplie de tonneaux contenant divers liquides, quelques tuyaux sortaient du sol et une énorme tapisserie rouge était au fond de la salle.
Avant d’entrer dans la salle, Gen s’adressa à deux hommes en train de boire une énorme bouteille de whisky :
- Et euh… vous deux là. Chose et Bidule !
- On ne s’appelle pas comme ça !
- Tenez la taverne jusqu’à mon retour.
- On n’a pas le choix ?
- Non ! Allez, je vous laisse faire des tournées…
Tout le monde dans la taverne hurla un « Ouais ! » sonore qui devait s’entendre depuis la mairie.
Les deux lascars occupés à donner, et les buveurs occupés à se saouler, Gen et Amata purent continuer tranquillement leur chemin, Amata qui pensait avoir droit à un briefing dans la salle aux tonneaux, fut surpris lorsque Gen écarta la grande tapisserie qu’il avait pris pour un mur.
Derrière la tapisserie, c’était un étroit couloir dont une quantité impressionnante de tuyaux jonchait le sol, ce corridor semblait continuer sur une assez grande distance.
Gen dit finalement avec un énorme sourire : « Et bien allons-y ! »
Marchant prudemment pour ne pas se prendre les tuyaux dans les pieds, ils n’avançaient pas très vite, et la traversée étant d’autant plus longue qu’aucun ne parlait, donnant l’impression d’assister à une conversation de muets.
Ce fut finalement Gen qui brisa le silence :
- On dirait bien que tu es venu finalement !
- Je ne pensais pas que vous le remarqueriez de si tôt.
- Tu n’avais pas l’air de vouloir venir hier.
- On va dire que certains événements … m’ont poussé à venir … dit-il d’un ton gêné
Amata avait eu quelques problèmes la veille lorsqu’il cherchait une auberge où dormir, une poignée de garde de la mairie armés de lances l’accostèrent, et ils lui dirent de payer une taxe car il n’avait pas de travail, ne voulant pas causer de troubles si il voulait rester, il dut payer la taxe qui lui vida entièrement sa bourse.
- Les gardes n’est-ce pas ? dit Gen avec un sourire
- Effectivement, mais j’aurais très bien pu trouver un travail ailleurs.
- Au fait, tu ne m’as pas payé ta coupe de saké que tu as prise hier…
- Euh… C'est-à-dire que…
- Bon, maintenant nous sommes fixés, tu travailles ici !
- À propos, quelle sorte de travail est-ce ?
- Tu verras, que - Oups, fichu tuyau – Tiens, nous voilà arrivés !
En effet, le couloir s’était terminé sur une porte toute grisâtre.
La porte menait sur l’arrière de la taverne, une ruelle assez éclairée qui possédait un grand nombre de passages.
Deux personnes étaient dans cette ruelle, voyant nos deux arrivants, elles s’approchèrent.
- Harami ! Ermet ! Venez, c’est nous ! cria Gen
S’approchant encore plus vite, elles arrivèrent devant nos deux héros.
- Enchanté, je suis Harami Lara. Dit une des deux personnes, une ravissante jeune fille aux cheveux violets, yeux bleux, qui semblait avoir dans les 18 ans.
- Moi c’est Ermet Gald, dit l’autre, un jeune homme du même âge, cheveux blonds et yeux marron, habillé d’un ensemble ressemblant à une armure.
- Enchanté, je m’appelle Amata... Vous êtes aussi ici pour travailler ?
- Ce sont tes collègues, Amata. Répondit Gen
- Collègues ? Mais de quel travail s’agit-il ?
- C’est… Un travail de mercenaires.
Au fait j'ai édité le premier message et ai mis le chapitre 1 en spoiler, enjoy
Dernière édition par squitcher le Mer 15 Juil - 22:10, édité 1 fois
A supprimer- Membre
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Localisation : Dans un lit...
Re: Pas de nom
L'histoire commence à devenir intéressante ^^
Suite !
Suite !
Shouka-san- Membre
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Localisation : Sur la terre
Re: Pas de nom
Ça se passe au Japon, c'est ça ? Connaîs-tu la culture japonaise, et le Japon ?
Sinon, j'aime beaucoup =) Mais fait pas un héro invincible qui a toute les qualité, ça m'énerve é_è
en tous cas, continue ^^
Sinon, j'aime beaucoup =) Mais fait pas un héro invincible qui a toute les qualité, ça m'énerve é_è
en tous cas, continue ^^
Hungrey- Membre
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Localisation : Ça n'intéresse personne ...
Re: Pas de nom
Pas vraiment, ça ne se passe pas dans notre monde à nous, mais j'ai introduit beaucoup d'éléments japonais, ça doit être pour ça que tu confonds^^
Ne t'inquiètes pas , Amata ne sera pas ce petit super héros, mes personnages seront des torturés de la vie^^
Ne t'inquiètes pas , Amata ne sera pas ce petit super héros, mes personnages seront des torturés de la vie^^
A supprimer- Membre
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Localisation : Dans un lit...
Re: Pas de nom
Ca me fait penser à Kenshin ^^ Tu connais ?
En tout cas j'espère que tu vas vite nous sortir la suite ! Ca a l'air pas mal cette histoire de mercenaires...!
En tout cas j'espère que tu vas vite nous sortir la suite ! Ca a l'air pas mal cette histoire de mercenaires...!
Lulu-sama- You have no Idea how Active
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Localisation : 26° N latitude 72.9 roger latéral droit ne répond plus
Re: Pas de nom
Haha, oui je connais bien Kenshin^^ Bon je vais m'y mettre, mais je pense qu'une fois mis, il devrait sortir durant le début de la semaine prochaine.
A supprimer- Membre
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Re: Pas de nom
Coooool ! XD
Lulu-sama- You have no Idea how Active
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Localisation : 26° N latitude 72.9 roger latéral droit ne répond plus
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