Four Sword

Mais pourquoi je lui demande de me faire relire l'histoire depuis le debut comme un bon maso bien obeissant et toi tu me traite de paressou ^^'

Parce que tu veux jamais chercher les topics tout seul ! :hush:

Et puis... je crois que si on remonte les topics, ça doit bien faire 15 chapitres que tu dis que tu vas commencer depuis le début et....
... mais je ne dirais rien, je ne suis pas venue un certain temps quand philou postait Chloe Van... et après ça m'a fait genre 20 chapitres de retard !! °_°

Désoler ^^' bah ca me fera la lecture le soir ^^

T'as plutôt intéret, ouais! J'y ai mis tout mon coeur, dans cette fic!

Bon pour te prouver ma motivation, je vait chercher moi meme la premiere page..... ^^

Je ...je suis désoler Tewanna.... Je n 'ai jamais continué ta fic depuis SPZ et je n'ai jamais poster dans ce sujet....Alors que toi, tu te donner a fond pour nous créer quelque chose de grandiose....Je suis vraiment vraiment vraiment désoler... Pendant que quelque personne te soutenait je ne sais même plus se que je faisait, je suis franchement désoler....*Sentiment de retard*

(Désoler pour le Double-post)

Hé ! Arrête de pleurnicher ici, tu fiches des larmes partout sur les pages de la fic ! Rha là là.....! *SBAF !!!!* xD

L'essentiel c'est qu'au final, tu vas la lire ! ^^
Et tu vas pas perdre ton temps, parce qu'elle est géniale ! (moi je suis toujours restée morte de rire en repensant à l'épisode du Schnauzer nain !!! trop drôle le personnage !!! surtout quand Link se barre avec la carte ! lol)

Mais faut aussi lire les fics de philou !!
Commence Chloé, elle est super ! Moi je vais reprendre où j'en étais... ;p

2 génies j'te dis... 2 gé-nies !

Tome 2 chap 13 je l'ai dévoré four sword hier...

Pas maaaal!
Enfin bon, la suite.

Un mensonge dur à digérer

Link était, contre toute apparence, réveillé depuis bien tôt. Il n'était pas sortit de son lit par peur de réveiller Sen qui ne se doutait pas des sombres pensées qui l'agitait. Il culpabilisait d'avoir mentit à Mocco, mais cela contre-balançait de bien peu les mensonges que l'on lui avait infligés. Sentant son courage assez chauffé pour être battu, il
tenta de se faufiler hors du dortoir sans bruit.
-Où tu vas...? demanda Sen, à moitié réveillée par le bruit,
Le concerné serra le poing en maudissant cette fatalité qui semblait le suivre comme un chiot pétrit de bonnes attentions sans se rendre compte de ce qu'il apportait vraiment à son maître.
-Rendors-toi, souffla t-il, c'est mon tour de garde.
Rassasiée de son argument, Sen se retourna pour mieux replonger dans son rêve dans l'espoir de le reprendre où il s'était arrêté. Link émit un soupire se soulagement avant de s'atteler à son travail; plus vite le travail sera fait, moins l'anxiété durerait. A moins qu'il soit découvert, bien entendu.Il referma soigneusement la porte derrière lui en même tant que l'air matinal nettoyait ses poumons; le déroulement du plan semblait assez simple pour lui permettre un allé-retour ni vu, ni connu. Personne ne remarquerait son absence. Se retournant en se frottant les mains pour les réchauffer, il se trouva en contact directe du regard avec la personne qu'il aurait le moins voulu voir en cette circonstance; son capitaine, pour instance.Le chiot venait de rapporter les clés de son voisin...Assise en équilibre sur la barre dans son manteau semblable au sien, elle semblait prise en flagrant délit. Link aurait trouvé cette image bien amusante si les évènements de la veille ne lui étaient pas revenus en mémoire aussi brusquement; l'inévitable conversation allait se montré délicate, il se devait d'en être conscient; pourtant son sentiment de condamné montant vers l'échafaud semblait lui faciliter la sortie des mots.
-Tu te sens mieux? fit-il d'un air innocent et résigné,
Ça question sonna comme une plume frappant un mur, mais elle semblait trop épuisée pour lui en tenir rigueur.
-Je tiens sur mes deux jambes, lui laissa t-elle savoir en détournant la tête, un bon signe, je présume.
-Fait attention à toi, continua t-il, dans ton état, il serait préférable que tu pense à ne pas dépasser les limites...
Sa maladie ne semblait pas avoir émoussé pour un sous sa spontanéité; elle se tourna vers lui d'un air surpris et confus, comme si le son de sa voie lui avait sonné faux. Conscient d'avoir marché sur du verre, Link tenta de détourner son attention sur un point sensible;
-D'ailleurs, qu'est-ce que tu fais, dehors? Tu ne devrais pas être couchée, à te reposer?
Cela avait fonctionné; elle baissa la tête en résignation avec un demi-sourire aux lèvres, comme pour signaler qu'elle était une habitante de la planète "Choppée".
-Je sais, ce n'est pas glorieux pour mon grade de désobéir son certificat médical, pour ne pas dire puéril. Je n'avais pas sommeil, j'imagine...
-Tu parles, répondit Link en riant, je parie que tu fait ça rien que pour énerver ce pauvre Mocco!
Encore une fois, ses pieds avaient foulé du verre brisé: son rire avait sonné faux, comme si son hilarité même était un mensonge. Elle coulait vers lui un regard suspect manquant pourtant de précisions à ses hypothèses.
-En parlant de sorties, qu'à tu l'intention de faire, exactement? Ce n'est pas dans ton habitude de te lever à l'aurore, je crois?
-Je n'ai pas encore récupéré le joyau du temple... appuyant sa thèse d'un argument à risques, il précisa: dès que j'ai compris que tu... Je... J'étais tellement en colère que j'ai tout arrêté pour venir te
chercher...
Il avait réussit. Il avait réussit à déguiser son sentiment de résignation pour ce qu'il était sur le point de faire en sa culpabilité de la veille. Elle cessa de le fixer de cet air accusateur et se redressa pour éviter de croiser son regard, persuadée qu'il s'en voulait à cause d'elle.
-Dépêche-toi, alors...
-Je serait de retours avant midi, lui assura t-il.


De retours avant midi, se répétait-il tandis qu'il fixait sans voir la population du village aller à leurs affaires. Il se serait sentit près à vomir à l'idée de ce qu'il allait faire si sa soif n'avait pas commencée à lui dévorer la gorge comme en flammes. Assis sur le sol, contre le mur d'un bâtiment quelconque, il redressa sa tête vers le ciel pour tenter d'oublier ne serais-ce qu'un peu ce qui déchirait sa raison. La neige ne tombait plus, mais il ne faisait aucun doute qu'elle réapparaîtrait le lendemain. Sa trace subsistait pourtant à travers cette épaisse couche de neige présente sur toute surface horizontale. Il se redressa, incapable de se retenir plus longtemps, détachant ce qui restait de sa raison à la recherche de sa potentielle victime.


-Oui, je sais... répéta pour la centième fois le capitaine au médecin, je n'aurait pas dû sortir. Excuse-moi.
-Excuse-moi...? Mais enfin...! Regarde-toi! C'est écrit sur ton front que tu est crevée! Ça te dirait d'écouter rien qu'un tout-petit-peu ce que j'essaye de te dire?
L'équipage levé, Tétra avait donné ses premiers ordres pour remettre l'équipement en état de marche. Tentant de tenir le médecin et ses jappements le plus éloigné possible de ses maux de crâne, elle ne pouvait logiquement pas tenir en place. Sillonnant une fois de plus le couloir débouchant aux dortoirs, tout en écoutant que d'une oreille les plaintes du généraliste la suppliant de fermer sa veste, elle s'occupa distraitement à fermer les portes sur son passage. Sur le point de fermer la porte du héros tout-de-vert-vêtu, un détaille l'interpella.
-...Sen...? Qu'est-ce que tu fais là...?
A son grand soulagement, Mocco avait cessé ses miaulements désespérés, mais ce ne fut que de courte durée. La petite boule d'obscurité semblait de nouveau réveillée en plein milieu d'un rêve des plus captivants.
-J'essaye de prendre du sommeil, marmonna t-elle.
-Tu n'accompagne pas Link...? Il vient de partir pour le temple, pour récupérer le cristal...
-Hein...? répondit-elle, à présent presque réveillée, mais non, ça ne se peut pas... On a récupérer la perle hier...


Link mit une main sur sa gorge pour essayer de calmer la douleur lancinante que lui causait sa soif insensée. Les cobayes ne manquaient pas, mais il fallait un endroit à l'abri des regards, où il serait seul avec sa victime. A force de tourner en rond dans la citadelle, il trouva l'allée parfaite. Il n'attendait plus que son client. Adossé au mur adjacent à l'ouverture de la ruelle, il repensait, pour s'occuper l'esprit, à sa conversation matinale. Il la voyait parfaitement à moitié ignorant Mocco qui se donnerait corps et âme pour la convaincre de prendre ses médicaments (Haha, mort de rire!) losqu'une femme, d'une vingtaine d'années et portant des courses dans un sac en papier pris le chemin maudit. Engourdit jusque dans ses mains, il la suivie d'un pas chancelant jusque dans l'allée. Elle avait l'air bien heureuse, quelle que soit l'endroit où comptait se rendre, sans savoir que la mort planait au dessus de sa tête brune. Dégouté de toutes ses particules, Link lâcha prise de sa raison pour échapper à une confrontation de la réalité; le laissant en charge à sa soif insatisfaite. Ses pas s'accélérèrent au rythme de son coeur vers sa proie insouciante - il ne savait plus où ses pas le menaient, ni ce qu'il allait faire à son gibier.
Enfin...
Ses doigts se courbèrent, près à la retenir de toute tentative de fuite ou de débat jusqu'à ce que ses veines desséchées lui en empêche, se préparant à la retenir par la chair s'il le fallait. Ses yeux dilatés ne lui servaient plus qu'à déterminer où frapper sa proie le plus douloureusement possible, comme un hyène dévorée par la famine. Il entendit aussi distinctement que sont souffle assoiffé le battement de cœur de la proie. Comme si l'ont venait de raviver la brulure de son rêve, des voix s'entremêlèrent dans sa tête, de plus en plus puissantes jusqu'à l'en assourdir. C'est à peine s'il ne sentait pas la chair sous ses dents retroussées. Devant ce gibier, il ne pensait plus qu'à sa mort, qu'à son sang, qu'au jus de ses veines. Pitié! Faites qu'elle en soit remplie! Faites qu'il y en ai assez pour lui faire oublier l'odeur de Tétra... Par pitié... Oubliant sa soif, ses promesses, tout ce qui comptait à ses yeux, il se laissa emporté par la folie. Il sentit ses muscles se tendre...

Un choc violent percuta son dos avant qu'il ne se retrouve aplatit au sol pas sa charge. Déboussolé, il tenta de se débattre, main en vain. Devant lui, sa proie s'était retournée, interpelée par le bruit de la confrontation.
-Hé hé hé, fit Sen, d'une voix amusée de petite fille, je t'ai eu! C'est toi le chat!
L'étrangère sourie devant ce spectacle. Les enfants de cet âge là étaient si mignons quand ils jouaient ensemble! [Parce qu'ils ont pas rien qu'un peu 12 ans, en fait...]
Se retournant, elle partie. Son gibier était partit... Il posa sa joue contre la neige, résigné.

Chapitre 18....Encore 21 chap

L'origine de la dispute...?

-Hé bien, quelle joie! fit Link pour se divertir de sa position inconfortable et du froid de la neige qui se transmettait sournoisement vers lui, je te voyais encore dormir un moment... Pas trop dur, le réveil?
-Ne dépense pas trop ta salive, lui fit savoir Sen, tu vas en avoir besoin. Je te plains sincèrement, je n'aimerais pas être à ta place.
-Je n'ai pas grand chose à plaider, lui répondit Link en haussant les épaules comme il le pouvait, les faits parles d'eux-mêmes.
-Tu vas donc avoir le courage de le lui dire en face, je présume? déclara t-elle sournoisement.
Elle n'avait certes pas beaucoup de tact, mais elle avait tiré dans le mille. Il avait bien entendu le courage d'affronter démons et créatures de l'enfer, il n'aurait jamais le courage de regarder son capitaine en face après ce qu'il avait tenté de faire. Il n'était pourtant pas de son essor de choisir la coupe sous laquelle il était placé. La seule chose à laquelle il put prêter attention lorsque des pas familiers s'approchèrent de lui fut les cognement de sa poitrine contre le sol. Sa tête était vidée; il n'avait plus la moindre idée de ce qu'il devait faire ni de ce qu'il allait dire.
Et il n'avait toujours pas arrêté sa décision lorsque les pas s'étaient interrompus devant lui; malgré le silence qui pesait, il était résolu à ne pas lever les yeux vers elle. Ne recevant aucun signe de coopération, elle s'agenouilla et lui releva le crâne par les cheveux de façon à ce qu'il ne puisse dérober son regard comme il avait sans doute la ferme attention d'agir. De son côté, il aurait trouvé beaucoup plus confortable de se retrouver devant le diable accompagné de quelques années en enfer plutôt que de se retrouver devant le visage impardonnable de son capitaine.
-J'ai hâte d'entendre ton excuse, déclara t-elle d'un ton qui sous-entendait clairement que quels que soient ses paroles, cela n'allègerait en rien la sentence. Malgré son avertissement, il ne délivra pas un parole; il n'avait aucune excuse. J'écoute, appuya t-elle avec agacement.
-Arrête... interrompit-il enfin le silence, arrête de tout prendre à ma place. Je n'en peux plus de te voir te saigner à cause de moi.
-Et c'est pour ça que tu as décidé de tuer. C'est pour ça que tu piétine tous nos efforts, cracha t-elle d'une voix qui ne cessait de monter, pour te soulager la conscience! Parce que ça t'arrange de te dire que tu ne la connaissait pas! Tu te rend compte, au moins? Tu te rend compte que tu fiche en l'air ta dernière chance de paraître crédible aux yeux de nos alliés? La seule raison pour laquelle on peut encore compter sur une aide extérieur c'est parce que tu as assez de fluidité d'esprit pour ne pas faire ce genre de stupidité!
-Il ne serait pas question de paraître crédible ou de fluidité d'esprit si tu te mettait un peu à ma place! cria t-il en retours pour se faire entendre, j'avoue que c'était une erreur, puisque c'est ce que tu veux entendre! Oui, je n'aurais jamais dût essayer de la tuer comme je n'aurait jamais dût te sauver! Des erreurs, je ne fait que ça; parce que je continue à rêver qu'un jour je puisse en supporter moi-même les conséquences! Je n'en peux plus de te voir verser le sang qui devrait couler de mes veines! Puisque je suis tellement enclin à faire des erreurs, par pitié, laisse-moi être le seul à en payer les conséquences!
-Par pitié...? fit-elle d'une voix incrédule. Elle laissa la tête de son protégé s'écraser au sol en essayant de se retenir de la lui aplatir. Sen, ordonna t-elle, relève-le.
Il se sentit ramassé sans ménagements comme s'il ne savait pas se servir de ses jambes et fut présenté de façon à ce que ses yeux rencontrent immanquablement ceux de sa supérieur; rien qu'en la regardant, il aurait put jurer qu'il devait se préparer à recevoir un coup dans la figure.
-J'ai l'intention de te rendre ce fichu cristal que tu m'a enfoncé dans l'œil, le prévint-elle à la place en détachant chaque syllabe comme s'il s'agissait d'un demeuré, et si pour ça je dois finir six pieds sous terre, ce n'est certainement pas dans ton devoirs de m'en empêcher. Maintenant, jure moi de ne toucher qu'à mon sang ou au pire à celui d'une personne qui accepterait de te le donner.
Link ne put s'empêcher d'éclater de rire; elle devait bien s'être ramollie! Depuis quand était-elle du genre à laisser le choix?
-Tu dis ça comme si c'était ce que je voulais, railla t-il, qui sait, peut-être qu'il y a mieux ailleurs?
Sa voix se tut avec l'impact qu'il reçu au visage; car saisie d'une impulsion, Tétra n'avait put se retenir de lui donner un coup de poing - Il trouvait ça drôle, peut-être?
Il cracha part terre le sang qu'il avait acquit à l'aide de cette démonstration d'affection, et put lire dans les yeux de son capitaine à quel point elle le trouvait lâche et écoeurant. Ce n'était pas agréable de faire face au dégout qu'il inspirait à son amie, il ressentit même une pointe de douleur loin au fond de lui; mais quelque part, il était rassuré à l'idée qu'elle ai moins envie de l'aider.
-J'ai quelque chose à te montrer, lui fit-elle savoir en se retournant, toujours suivie de cet sonorité basse et dangereuse qu'elle avait lorsqu'elle défiait quelqu'un.
-Et qu'est-ce qui se passe si je n'ai pas envie de savoir? reprit-il également d'un ton moqueur.
Elle tourna à moitié son visage vers lui et le considéra longuement du regard, comme pour lui demander s'il voulait vraiment savoir, mais devant son mutisme obstiné, elle se détourna vers quelque chose qui devait se trouvait derrière lui, et, faisant signe de la tête, elle ajouta:
-Assomme-le.


Il revint à lui grâce à la secousse qu'il reçu lorsque son corps fut jeté sur un matelas. Ses yeux étaient brumeux, mais il reconnu en partie l'agencement du mobilier - sa chambre, peut-être? Il entendait au loin la voix de son capitaine s'occupant de donner des ordres à l'équipage, et pendant ce quart de seconde, il ne put s'empêcher de saisir l'espoir qu'il ne s'agissait que d'un rêve. Malheureusement, il se rendit bien vite compte à l'aide de ses réflexes, ceux qui nous poussent à mettre la main derrière le crâne lorsque c'est douloureux, qu'il y avait quelque chose de visqueux sur cette partie de sa chevelure blonde; il n'eut pas besoin d'un expert pour savoir que son oreiller serait à jamais encré d'une tâche écarlate. Ce n'était pas un rêve, et ces matins où il se faisait tirer les oreilles pour s'être levé tard n'était plus que de lointains souvenirs. Il s'allongea entièrement sur son lit de mort en espérant soulager ne serait-ce qu'un peu la douleur qui cuisait son crâne, mais le discussion au loin semblait s'être terminée et, comme part un accord de ne pas déranger l'autopsie en cours, des pas franchirent le seuil de son domaine sans oublier de fermer la porte derrière eux.
-Tetra, dit Mocco à son capitaine d'une voix qui laissait comprendre qu'il avait déjà posé la question, tu est sûre...? Je ne pense pas que ce soit très sage de...
-Laisse moi te le montrer, l'interrompit-elle, et tu fera ce que tu veux de ma santé après. Pour l'instant, je pense qu'il est grand temps de te montrer à toi comme à cet imbécile où est le problème.
Le médecin passa d'un pied sur l'autre, essayant de trouver un moyen de la retenir de se détruire la santé une fois de plus. Mais décidée comme elle l'était, il n'était pas très prudent de tenter de la convaincre.
-Il doit encore être inconscient, risqua t-il, tu n'y est pas allée de main morte sur ce pauvre Link...
-Il n'y avait aucune raison de se retenir, répondit-elle d'un ton amère, on n'en serait pas là s'il s'était abstenu.
Link feint de toute ses forces l'inconscience que lui donnait son coéquipié, mais il savait bien que ça ne servirait à rien. A peine avait-elle daignée poser son regard sur lui qu'elle était en mesure de dire qu'il était en pleine possession de ses réflexions.
-Non, je peux t'assurer que celui-là est bien conscient. Peut-être aura t-il le courage de me regarder en face, quand je lui parle?
Link ouvrit les yeux, mais il fut plus lent quand à la deuxième partie de sa demande. Il tourna légèrement la tête et, en croisant son regard, il pouvait être sûr que ce n'était pas un rêve, à tel point qu'il se demandait s'il n'avait pas oublié un événement.
-Je vois que tu as l'ai dessaoulé. Pour tout te dire, je pensait que, comme tu n'avais pas l'air de comprendre mes avertissements, autant te montrer où était l'origine de la dispute. Alors je vais vous montrer, à toi comme à Mocco ce qui t'arrive lorsque tu as soif.
-Si tu as l'intention de me faire sucer ton sang, gronda Link, tu peux aller te faire voir.
-Ne t'inquiète pas, lui répondit Tétra avec ce ton sacaristique qu'elle faisait si bien, je suis sûr que tu ne vas même pas te débattre.
Elle retroussa son manche comme lors d'une opération chirugicale et sortie le fameux couteau qu'elle portait en permanence sur elle. A son horreur, Mocco vit les cicatrices de ses anciennes prises de sang et eut du mal à se retenir de lui épargner la nouvelle saignée. Link détournait le regard de la scène, décidé plus que tout à ignorer ce qu'elle allait faire tout en sachant pertinemment qu'il ne le pouvait pas.
-Sois attentif, le prévint-elle d'une voix impitoyable; elle porta la lame à son bras et traça une fine droite pulpeuse dont le liquide nettoya le bras avant de se mettre à couler sur le sol avec la régularité d'un métronome.

Link cru y arriver. Il fut convaincu durant les premières secondes de ne même pas savoir que le sang s'aplatissait au sol...
... quand il se rendit compte que le tempo s'était inscrit dans son crâne...
... Une fois, deux fois, trois fois...
Le son de la percutions s'était intensifié au point de ne plus pouvoir en décoller ses pensées, de ne plus pouvoir penser à autre chose qu'au doux son de ce quelque chose qu'il connaissait si bien.
... Une fois, deux fois, trois fois...
Son cœur s'emballa et se mit à tamponner de plus en plus vite, proportionnellement à la coulée de la liqueur, comme s'il fuyait de toutes ses forces cette voix qui lui soufflait à quelle point sa soif le brûlait.
... Une fois... Deux fois... Trois fois...
Il tourna légèrement les yeux vers la source de son envie sans faire attention au regard terrifié que lui portait le médecin - sur les traits de l'animal se lisait distinctement son ébahissement pour la beauté du sang, ses yeux qui suivaient précisément le nombre de gouttes éparpillées, son air assommé par l'odeur enivrante qu'il respirait, ses lèvres qui priaient pour étancher sa soif déchirante et ses mains qui tremblaient pour se retenir d'interrompre leur son si régulier.
Tétra mit une main sous leur égouttement pour ne pas gaspiller le breuvage miraculeux et pris lentement la direction de son ami. L'idée de laisser la bête boire de ce qu'il regardait si avidement terrifiait le médecin; et s'il... Et s'il la...?
Lorsque son bras meurtrit fut au dessus de la créature, elle ne put s'empêcher de contempler une nouvelle fois ce visage affamé qu'elle lui avait vu au moment où il l'avait mordu pour la première fois, absolument drogué par l'odeur de son sang.
Il fixait le blessure avec attention tandis qu'elle lui tendait son bras duquel s'écoulait encore ce tempo régulier, si soif, si soif... Il pris doucement son membre cisaillé pour l'approcher de son visage et lui lécha docilement la plaie de façon à ce qu'il n'en coule plus une goutte et, comme pleinement conscient de l'appartenance de ce bras, il pressa doucement ses lèvres sur sa peau et se laissa bercé par l'arôme de son sang.
Il n'était pas brutal, il ne cherchait pas à précipiter l'expérience, il ne cherchait pas à s'enfuir comme il ne cherchait pas à lui faire du mal, et elle pouvait le sentir. Elle pouvait distinguer de près la différence entre son comportement présent et celui face à l'inconnue qu'il avait tenté d'assassiner.
Lorsque la quantité lui sembla suffisante, elle lui retira délicatement son bras engourdie et se mit à le masser.
-Mocco, lui demanda t-elle, est-ce que tu pourrais me trouver des bandages...?
-Je... répondit-il, peu sûr d'avoir correctement entendu, oui, je vais les chercher...
Tétra se dirigea à sa suite vers la porte, laissant Link seul.
Elle se retourna pour lui parler, mais elle buta sur les mots. Il s'était mis un bras sur le visage, laissant le publique incapable de voir son expression. "Désolée" fut la seule parole qu'elle put prononcer avant de s'en aller.
Le bras qu'il avait placer sur ses yeux s'était révélé bien inutile, car aussi courageux qu'on voulait qu'il soit, il n'arrivait pas à retenir la douleur qui lui tordait le visage.

Roh ! Ok je continue ! :drunken:

Alors...?

Attend j'y suis bientot au nouveau chap ! ^^ Mais la je dois faire des devoirs (Professeur sadique -_-')

Et maintenant?

Presque ! Bon j'imprime les chap qui me manquent et je pars en espagne avec ^^ Promis !

*soupir*
Et moi je suis impardonnable, ça fait trop longtemps que je n'ai pas lu Chloé et Four Swords...
A chaque fois que je passe c'est en coup de vent, et les chapitres s'entassent........
Vraiment, je vais m'y mettre sérieusement ! ^^

C... C'est bon...?

Rho t'es dure ma chouki... >.<

J'ai mis trop de chapitres de côté, du coup, quand je passe, vu que je n'ai pas le temps d'extrapôler, je me contente juste de répondre aux topics et je remets toujours à plus tard la lecture....

(nooooon me frappe paaaas !!!! pliiiizzzzzz !!!!!)

Bon c'est décidé, je vais me poser une matinée thé/fan fic !

(et j'ai crû comprendre que philou arrivait aussi bientôt à la fin de sa fic et qu'il allait passer à un registre comique. z'ai pas droit à l'erreur ! faut qu'j'ai lu tout ça avant la fin de Chloé ! C'est un orrrrrdreuuh ! XD)

Tient Matinée Thé/Fan fic ? Bonne idée je fait ca samedi !

Eh ben moi je suis tellement impardonnable que je me suis dait pipi dessus rien qu'en pensant a ce que Nounette allait me faire subir ! loooool

(t'as vu hein ? la pression qu'on a en tant que lecteurs ! .... brrrrrr.... )

Et moi je tente un fanficthé lundi matin, je bosse tout le week-end....

Ah ben bonne chance luloute ^^'

Je devrai essayé de trouver du thé à la mangue, c'est succulent a ce qu'il parait !

En même temps, lundi matin, j'avais des trucs à faire vu que c'est mon seul jour où je peux m'occuper de trucs justement....
*soupir*

T'inquiète pô ma choukinoute ! On y arrivera ! Et Philou aussi hein !

Je sais qu'on vous fout la pressions, mais remarquez quand même qu'une fic sans lecteurs, c'est comme celui qui se la pète alors qu'il est tout seul... Ca impressionne personne...
Surtout que les deux derniers chapitres étaient ceux que j'étais le plus impatiente de poster, alors ça me brise le cœur de me voir bavarder à Perpète les Oies alors que personne n'écoute ...
Et je fais quoi, en attendant d'attirer l'attention...? Ben je glande.

Roh Nounette *Calin* ! T'en fait pas ! Pour moi c'est bientot les vac d'été donc comme je stress en attendant qu'elles arrive parseque c'est long , je me detend en lisant une bonnefic, alors ce que tu a juste a faire, vu que j'ai un moral legendaire, c'est de le jeter un mauvais sort ^^' ! Et voila je t'aurais lu 5 fois ta fic ^^ :king: